Publier le 8 Juin 2020 par AJMM
Episode 1
4h30 étaient l’heure à laquelle rentraient habituellement nos 3 amis, Hervé, Jacques et James chaque weekend lorsqu’ils prenaient le temps de se voir pour couper une bière entre amis..
HERVÉ: Hahahaha.. C’est vrai hein, moi je lui ai dit que si elle n’aime pas le sexe, ça ne sert a rien qu’on soit ensemble.. Je ne peux pas avoir une copine qui est sainte
JACQUES: Je te dis mon frère, les saintes c’est a l’église qu’on les retrouve
HERVÉ: Exactement.. Ton frère James lui il est toujours en retard
JACQUES: Ah il boit même d’abord? Il va arriver là , il va commencer a boire ses jus
Nos amis étaient des célibataires, ou encore des coureurs de jupons, tous étaient accro aux femmes et au sexe.. Qui dit coureur de jupons dit briseurs de coeur.. Le nombre de filles auxquelles ils avaient brisé le coeur était illimité..
JAMES: How les gars ?
JACQUES: Enfin
JAMES: Gars j’étais avec la go d’hier la nooon
HERVÉ: Celle qu’on a croisé hier quand on rentrait du boulot là ?
JACQUES: Laquelle comme ça
HERVÉ: Toi tu étais déjà devant, tu n’as pas vu, il y’a une go qui sort comme ça là hier a l’entrée qui est juste en haut là
JACQUES: Ah d’accord.. Et le gars a directement accosté la nga hein
JAMES: Oui oui.. Tu m’ignores?
HERVÉ: Et tu as fait comment aujourd’hui ?
JAMES: Tu ignores quoi? J’ai » tué » ça proprement
HERVÉ: Hier hier la que tu l’as draguée, tu as déjà couché avec elle ?
JAMES: Ah les femmes c’est quoi? C’est le mensonge nooon…. je lui ai sorti un mensonge comment je suis célibataire et que je cherche une relation sérieuse.. J’ai d’abord dit a Paula qui voulait venir aujourd’hui que j’ai voyagé, c’est donc comme cela que j’appelle la Nga de venir a la maison elle vient et je termine avec
JACQUES: Elle réponds ?!
JAMES: Jusqu’à.. Mince.. Les seins sont encore debouts comme une lycéenne
HERVÉ: Waaaa.. Ne me dis pas!
JAMES: Gars c’est la mort, elle suce comme une actrice de porno
HERVÉ: Hahahaha.. Mince.. Quand j’ai d’abord vu ses lèvres d’hier la.. J’ai senti que si celle ci te tcha la bite tu es en haut
JAMES: Ce n’est pas le mensonge gars, elle sait utiliser sa bouche
JACQUES: Depuis vous parlez la, j’ai déjà envie de coucher avec elle aussi
JAMES: Ah.. si tu veux je te passe son numéro, tu lui écrit mais ne dis même pas que c’est moi qui t’ai donné son numéro
JACQUES: J’ignore le système ?
JAMES: D’accord
Telles étaient donc leurs habitudes, mentir aux innocentes filles, se passer les filles, abuser d’elles.. A chaque fois qu’ils sortaient, ils s’arrangeaient a rentrer avec une fille croisée au cours de la soirée ou alors avec une fille de joie..
C’est ce qui se passa ce soir la lorsqu’ils avaient décidé de rentrer.. Chacun avait une fille pour bien passer la nuit..
JAMES: Bon les Gars on se voit alors le matin
JACQUES: OK! Je lance la Nga la demain même même
JAMES: D’accord
Jacques était le plus petit de la bande mais surtout le plus pervers, il aimait des choses cochonnes, il adorait les filles actives et qui n’avaient peur de rien, comme des partouzes par exemple et d’autres pratiques sexuelles, pour lui c’est ça qui l’excitait le mieux d’où son attachement aux filles de joie car il savait qu’elles étaient prêtes a tout tant qu’il y’avait des billets de banques…
JACQUES: Installez vous, je prends mon bain !
Ce soir là justement il était rentré avec deux filles, il aimait beaucoup des plans a 3.. Il a pris son bain et est venu les retrouver avant d’entamer les hostilités…
JACQUES: Commencez par vous embrasser.. Oui c’est ça.. Sensuellement.. Allez doucement.. Oui.. J’aime
Il était assis et regardait les deux filles s’embrasser, ça l’excitait de voir ça.. Après quelques minutes, il pris une par la main et sans tarder après une double fellation la pénétra d’un coup
– Aaaah…
JACQUES: C’est bon?
– Oui! Vas y plus fort
Il accentuait ses coups de rein pendant que l’autre fille soit l’embrassait, soit regardait en se masturbant devant eux.. Ainsi va à tour de rôle, jusqu’au moment de la jouissance qu’il évacua sur leurs visage et leurs seins en même temps pour un bon sommeil après
Le lendemain, il se leva et paya les prostitués qui s’en allèrent…
JACQUES: J’espère qu’on se reverra.
– C’est quand tu veux mon bb
JACQUES: D’accord poulette
En appliquant une claque a la fesse de cette dernière…
– Hummm 😏😏
Le dimanche était donc jour de repos normalement, il fit le ménage chez lui en attendant comment un de ces amis pouvait l’appeler
De l’autre côté, James lui avait croisé une fille avec ses copines en boite, il a abordé et elle a accepté, lui sans savoir que ce n’était pas ce qu’il pensait
JAMES: Non attends, attends! Tu es une prostituée?
– C’est quoi ton problème ? Donc je viens dormir chez toi, le matin arrive tu me regarde, même pas l’argent de taxi ?
JAMES: Ekie.. J’ai cru que c’était l’amour hier en boite nooon
– Amour? Tu connais même encore mon prénom?
JAMES: Ce n’est pas une histoire de prénom.. hier il fallait me dire que tu étais une pute, là je savais comment je devais faire.. Là maintenant moi je n’ai plus d’argent, tiens! Voilà 1000frs.. Bâts toi tu rentres d’abord a la maison, tu me laisses ton numéro je vais t’appeler
– Je ne suis pas une prostituée mais apprenez a payer le taxi aux filles, j’arrive hier ici, tu m’épuises toute la nuit avec ton gros machin la et le matin tu prends 1000frs tu donnes à qui?
JAMES: C’est seulement ce que j’ai.. On va gérer
Malgré tout elle avait quand même prit les 1000frs avant de rentrer chez elle..
Hervé, lui le plus cool, pas pervers mais accro aussi, avait terminé et nettoyait sa maison lorsque quelques heures après son téléphone sonna, au bout du fil, James…
#AU_TÉLÉPHONE
HERVÉ: Oui bro
JAMES: Gars c’est chaud?
HERVÉ: Comment ça
JAMES: Si Paula viens là-bas, dis lui que je venais d’être la mais tu ne sais pas où je suis parti
HERVÉ: Ekie.. Il y’a quoi nooon
JAMES: Je t’ai dit qu’elle devait venir hier nooon.. Entre temps moi je ne veux plus d’elle et je suis terriblement fatigué.. Je dois me reposer
HERVÉ: Hahha.. OK OK
Ce qui ne tarda pas, voilà Paula qui s »emmenait, avec des yeux tout rouges, Hervé qui l’avait vu de loin se prépara a l’accueillir
– Toc toc toc
HERVÉ: Entrez!
….
HERVÉ: Paula? C’est comment ?
PAULA: Jacques n’est pas ici?
HERVÉ: Il venait d’être là, il est allé je crois bien chez la mater
PAULA: James je demande hein, ton ami joue a quoi? Pourquoi il me torture ? Si il ne veut plus de moi, il n’a qu’à me dire, je le libère, ça fait deux mois que je veux voir ton ami, il a toujours une raison pour qu’on ne se voit pas, tout a l’heure la je l’appelle que je viens chez lui, il me dit qu’il a dormi ici,j’arrive il n’est pas la
HERVÉ: Paula moi je vais alors te dire quoi? Tu sais que moi je ne parle pas des problèmes de couple..
PAULA: Oui je sais!
HERVÉ: Mais moi tout ce que je peux te dire c’est que pour qu’un homme soit bien avec toi, fais ce qu’il te demande de faire.. Moi j’ai remarqué que seulement en 6 mois de relation avec Jacques, tu l’envahies et il n’a même plus d’espace pour lui, je ne parle pas de nous ses amis hein.. On ne voyait même plus notre ami constamment
PAULA: Pourtant, il est toujours entrain de dire qu’il est avec vous?
HERVÉ: Hum.. C’est rare! Je vais aussi te demander quelque chose, ne te fâche pas.. C’est un peu intime
PAULA: Je t’écoute
HERVÉ: Il dit que lorsque vous êtes couchés et que vous faites l’amour là, tu ne bouges pas, tu es seulement couché là, tu ne lui a jamais fait une fellation, tu n’aimes pas quand il appuie tes seins et tout.. Ce sont des choses que les hommes aiment
Paula a regardé Hervé et des larmes sortaient de ses pauvres yeux
PAULA: Au point de venir étaler notre intimité, je crois que c’était bon comme ça, je ne vais pas attendre qu’il me dise que c’est fini.. Dis a ton ami que j’ai compris mais qu’il ne doute pas, il verra dans sa vie..
Paula est sortie en pleurant, Hervé s’est mis a rire avant d’appeler James pour lui dire ironiquement
#AU_TÉLÉPHONE
HERVÉ: Tu es célibataire désormais
JAMES: Comment ça
Il lui raconta tout et James au lieu de se sentir mal, se mit a rire aux éclats
JAMES: Hahahahaha.. Et elle pense que je vais la supplier? Gars venez on va boire une bouteille, on fête mon célibat
HERVÉ: D’accord..
Ils ont fait signe a Jacques en même temps et plus tard en soirée, nos trois amis étaient autour d’une table à se parler et raconter leurs divers sur les femmes comme ils avaient d’habitude quand derrière eux un bonsoir doux sonna à leurs oreilles en même temps
– Bonsoir!!
C’était Ludmilla…
A SUIVRE…
Episode 2
Nos 3 amis ont arrêté de se parler et se sont tournés vers d’où sortait la voix de la fille, et là, ils la virent assise toute seule juste derrière, elle parlait à une serveuse, sûrement pour passer sa commande
Oh! La belle Ludmilla, elle était tellement jolie et elle savait se mettre.. Ce soir elle arborait un jeans légèrement destroy, une chemise et une chaussure qui faisait ressortir la couleur de son rouge au lèvres… Ce qui n’était pas fait au hasard..
Lorsque tous avaient fini de contempler la belle Ludmilla, ils se sont retournés en même temps et se sont regardés, maintenant il fallait décidé de la personne qui devait aller l’aborder
JAMES: Gars…
JACQUES: Ne tente même pas.. toi tu as déjà trop de femmes comme ça
JAMES: Quelles femmes ? Voilà Paula qui m’a quitté et c’est pourquoi on fête ici
JACQUES: Gars laisse tomber ne dérange pas! Laisse moi gérer le « dossier » ci
JAMES: Eh aah je suis célibataire gars et je suis le premier a l’avoir vu
Pendant que les deux discutaient, Hervé s’est levé, avec son courage, il est allé vers Ludmilla sous la surprise totale de ses amis
HERVÉ: Bonsoir.. Hervé !!
LUDMILLA: Bonsoir..
HERVÉ: Excusez moi, mais j’ai l’impression de vous connaitre
LUDMILLA: Ah bon ? Non je ne pense pas.. Sinon je me serai souvenue probablement
HERVÉ: OK! Mais c’est rare pour moi de me tromper, une chose est sûre je vous ai déjà vu et je sais que je vais me rappeler d’où
LUDMILLA: Tant mieux..
HERVÉ: Sinon ton prénom c’est ?
LUDMILLA: Ludmilla..
HERVÉ: Ah joli.. C’est la première fois que j’entends ce prénom
LUDMILLA: Merci.. 😊
Elle était très abordable et Hervé fut surpris qu’une fille aussi belle qu’elle ne soit pas complexé ou alors ne se prend pas la tête, il tenta sa chance..
HERVÉ: Sinon vous attendez quelqu’un ou alors vous êtes seule?
LUDMILLA: Seule..
HERVÉ: D’accord. On peut vous inviter sur notre table hein..
Ce qu’elle attendait réellement, elle fit semblant de regarder la table sur laquelle on l’invitait et accepta ..
HERVÉ : D’accord on y va!
Ils sont donc allés rejoindre les autres et Hervé a fait les présentations, entre eux c’était assez fair-play, du coup pas de mauvais regard, pas de tensions, car la femme pour nos amis était comme un jouet, ils sortaient juste avec pour assouvir leurs désirs, peu importe comment tu étais belle, posée ou responsable..
LUDMILLA: Enchantée Jacques et James
ils lui ont sourit après un toast et la soirée commença.. ils se mirent a poser des questions a Ludmilla
JAMES: Sinon on ne t’a jamais aperçu ici, tu habites le coin ?
LUDMILLA: Non je n’habite pas dans le coin, mais je suis nouvelle dans la ville, bon je vivais ici avant de partir et maintenant je suis revenue
JAMES: D’accord et tu étais où ?
LUDMILLA: Je n’étais plus dans ce pays en tout cas..
JACQUES: Et quel est cet homme qui laisse sortir sa copine toute seule?
LUDMILLA: Et pourquoi ne devrai t-il pas ?
JACQUES: Tu es très jolie, tu auras au moins dix hommes qui vont te faire la cour a chaque fois que tu seras dehors
LUDMILLA: Ah je vois.. Mais désolé je ne suis pas marié, ni en couple, je suis libre
Tous les gars se sont regardés en même temps, dans leurs têtes les différentes positions sexuelles qu’ils devaient réaliser avec cette dernière car oui ils comptaient se l’échanger comme ils avaient d’habitude de faire.. Ludmilla avait vu le jeu de regard de nos trois amis mais sachant ce qu’elle veut, elle fit semblant de n’avoir rien vu..
JAMES: Sinon tu habites où ?
LUDMILLA: Pas loin d’ici, je ne maîtrise pas bien le nom du quartier mais je sais où je vais
JAMES: D’accord
Une réponse qui intrigua les gars mais ils ne s’attardèrent pas dessus une fois de plus..
La soirée terminée aux environs de 3h-4h après que Ludmilla ait danser avec tous les garçons, elle les avait allumé et par orgueil personne ne dit à l’autre que pendant qu’il dansait avec elle par exemple, il a tiré la corde de son string, il a tâter ses seins, tellement de choses coquines pourtant Ludmilla avait commencé sa mission
JACQUES: Gars, il faut qu’on rentre
HERVÉ: On la dépose d’abord, on prend un dépôt
JACQUES: D’accord
Ludmilla habitait un quartier un peu retiré du centre ville.. Lorsqu’ils ont tous prit la route et qu’elle indiquait au taximan comment rouler, elle était assise au milieu de Hervé et Jacques, lorsqu’il y avait des zones d’ombres cette dernière ne manquait pas de glisser sa main dans le pantalon de Hervé dont elle avait décidé qu’il sera sa première victime..
Tout ceci sous le regard de Jacques qui aurait aimé être a la place de son ami mais son tour devait arriver, il n’avait qu’à attendre..
LUDMILLA: C’est bon là! Je suis arrivée
Tout le monde fut surpris..
JAMES: Où ? Ici ?
LUDMILLA: Oui je suis arrivée
Un endroit sombre qui montrait seulement une grande brousaille..
JACQUES: Tu habites seulement en brousse coco ?
LUDMILLA: Non! Hahaha.. Mon chauffeur vient me chercher pour entrer dans le quartier, d’ailleurs le voilà
Personne n’avait vu cette voiture venir, juste quand elle avait dit voilà son chauffeur que les phares avaient éclairé le reste de passagers dans la voiture..
Hervé est descendue pour qu’elle rejoigne la voiture et elle lui dit
LUDMILLA: Merci.. J’espère qu’on se reverra
HERVÉ: Bien sur.. On a nos numéros, c’est quand tu veux..
Elle s’approcha de lui et l’embrassa tendrement en suçant très bien ses lèvres et en collant son bassin sur la bosse qui se formait au niveau de l’entrejambe de ce dernier…
LUDMILLA: D’accord.. A plus!!
Hervé avait essayé d’identifier la voiture mais l’éclairage des phares étaient tellement éblouissant qu’il ne pu même déterminé la marque de la voiture qui avait transporté Ludmilla… Il avait fallu que le chauffeur de taxi tourne pour faire demi tour avant que nos amis ne constatent que la voiture était aussi partie..
JAMES: Mon frère, on était même dans quel quartier?
– Je ne sais pas, je ne suis jamais arrivé ici, c’est parce-que j’avais déjà accepté sinon je vous déposais
JACQUES: Tu as même vu celui qui était dans la voiture?
HERVÉ: Avec les phares la? J’allais le voir comment?
JACQUES: J’ai wanda sur les phares du gars la, il ne baisse même pas hein..
JAMES: Même quand la voiture tournait, je n’ai même pas pu bien regarder, on aurait dit qu’elle rôtait en même temps que nous
HERVÉ: Tiens la voilà qui m’écrit qu’elle est bien arrivée
JAMES: En tout cas c’est le plus important, tu as déjà le numéro et c’est comme ci elle te kiff déjà.. Valide seulement vite tu me donnes aussi je valide
JACQUES: Donc je valide en dernier
Ils se mirent a rire mais pourtant sérieux.. Le taxi les ramena au qua rtier et chacun rentra chez lui…
Hervé et Ludmilla ne s’étaient pas vu pendant au moins deux semaines mais ils causaient tout le temps, il avait commencé a lui parler de sexe au téléphone, au point de lui dire qu’il avait hâte de le faire avec elle, elle aussi qu’il n’avait pas à être pressé
HERVÉ: Tu m’as chauffé pour m’abandonner après, tu refuses mes rendez vous
LUDMILLA: Non.. J’ai des obligations ici et je me prépare pour te voir la prochaine fois
HERVÉ: J’espère que tu me permettras cette fois d’explorer ton jolie corps de mes mains
LUDMILLA: Lorsque je serai prête, on le fera et crois moi, je serai la dernière personne avec qui tu le feras…😏
A SUIVRE…
Episode 3
L’envie de percer ce nouveau mystère, de braver cette nouvelle conquête avait commencé à changer Hervé, déjà un mois et il n’avait pas encore passé le cap du sexe avec Ludmilla ni même avec une autre fille depuis.. Ses deux autres amis avaient commencé à lui poser des questions et aussi lui mettre la pression pour qu’il leur donne le numéro à leur tour aussi
HERVÉ: Gars attendez d’abord, je mange encore bien la go là, on a déjà fait ça une seule fois seulement et vous voulez déjà que je vous donne? Vous aussi, dès que c’est bon là, je vous donne le numéro, mais vrai vrai je tiens d’abord a vous dire qu’elle n’est pas comme les autres filles
JAMES: Genre, elle ne fait pas bien ou alors?
HERVÉ: Non pas de ce coté là, si ce n’est que là-bas hein, ne blague même pas, cette fille c’est une machine de guerre sexuelle
JAMES: Hein?! Raconte
HERVÉ: Je ne vous ai même pas dit, en fait la première fois qu’on fait l’amour elle et moi c’est d’abord chez elle, elle vit seule, une grande maison avec un luxe incroyable, donc elle vivait en mbeng et elle est venue s’installer ici
JACQUES: Sa vie nous intéresse en quoi ? Raconte nous les vraies choses
Hervé voulant avoir de l’assurance devant ses amis se mit à leur mentir, il commença a raconter tout ce qu’il voulait vraiment qui se passe et qui sortait de son imagination..
HERVÉ: Gars elle m’invite, elle ouvre d’abord une bouteille de whisky, bon tu sais que entre temps c’est la première fois, je ne veux pas saouler et je ne suis même pas sûre que la go vit vraiment seule, donc je mets un demi verre, surtout que je veux être lucide.. On cause et elle se rapproche de moi.. Gaaaars une perverse.. Je sens une main qui commence a me caresser les joues en descendant sur mon torse, mes cotes, avec sa manucure ça donne encore plus de frissons gars, vous n’ignorez rien.. un peu, un peu je n’ai pas compris comment ma braguette est déjà ouverte, je suis déjà bien dur au point où j’étouffe même dans mon bermuda, la go sort mon engin, elle apprécie d’abord l’appareil qui va la massacrer dans quelques minutes
JAMES: Hahahaha.. Waaaa
HERVÉ: Elle commence donc par me branler, entre temps je regarde sa poitrine qui fait pointer ses tétons a travers son petit tricot léger, je savoure aussi la branlette, elle sait s’y prendre les gars, je vous assure..
JACQUES: Dis donc continue..
HERVÉ: Après deux minutes de branlette, elle me regarde dans les yeux , un regard coquin puis elle se cambre en envoyant la bouche vers ma bite quoi, et… J’ai seulement senti la chaleur de sa bouche m’envahir la queue les gars.. Elle s’est mise à me sucer, la qualité de sa langue est indescriptible, elle monte, elle descend, puis un moment s’attarde sur le gland en me branlant.. Pendant de longues minutes j’ai senti la jouissance arriver, je l’ai arrêté… je lui ai dit » A mon tour » elle a compris, elle s’est levée et a juste baissé son boxeur en même temps son t-shirt , elle m’a fait signe de venir du doigt, je me suis levé et je l’ai suivie.. Sur la salle a manger elle est montée et a ouvert ses jambes, je ne me suis pas fait prier, j’ai envoyé ma langue, et j’ai commencé à explorer son intimité, en caressant ses seins et en tordant ses tétons, ses gémissements me faisaient signe de ne pas m’arrêter, la pression qu’elle faisait sur ma tête me le confirmait, après plusieurs minutes de broutage, elle m’a dit » Prends moi s’il te plait » je l’ai légèrement fait descendre de la table, je l’ai incliné et… J’étais dans elle.. Quelle douceur, quelle chaleur, quel bonheur, j’étais aux anges..
Les gars étaient attentifs, ils l’écoutaient avec passion, les yeux grand ouverts, Hervé remarquant cela continua de raconter son imagination
HERVÉ: Au début j’allais doucement, puis elle s’arrêta et me dit » Baise moi plus fort Hervé sinon c’est moi qui le ferai »
JACQUES: C’était pour te dire quoi? Qu’elle va te sodomiser mon frère ? Hahah
HERVÉ: Je n’ai pas voulu savoir, je l’ai prise par les hanches et j’ai commencé à accélérer mes coups, je sentais comment je la touchais jusqu’au fond, ensuite je l’ai fait monter sur la table, jambes écartées et j’ai continué avec le même rythme.. Elle criait de plaisir, mon nom comme ci elle était ma propre mère.. Elle me demandait de continuer, de ne pas m’arrêter et quelques secondes plus tard.. #Pouuuffff
JAMES: Elle jouit?
HERVÉ: Fille fontaine monsieur.. Je suis inondé, l’eau coule à flot, ça ne l’arrête pas mais plutôt le contraire, elle me tient par la queue et m’amène vers le canapé en cuir, je suis derrière et je vois ses grosses fesses se balancer devant moi.. Lorsqu’on arrive, elle me jette sur le canapé et me dit c’est a mon tour maintenant.. Elle se met encore à me sucer comme il n’est pas possible.. Ensuite elle monte sur moi, prend mon engin avec délicatesse et tout lentement se l’envoie dans la chatte.. Le bonheur absolu, puis elle se met a tweerker sur moi, une fille ne m’avait jamais fait cela les gars.. J’étais étonné!! C’est vrai que les belles filles sont des perverses hein.. Waouh! Je n’ai pas supporté longtemps et j’étais entrain de jouir
JAMES: Dans elle?
HERVÉ: C’est même elle qui se serre contre moi pour que ça entre bien..
JACQUES: Mince!! Magie! J’ai déjà envie d’attraper celle là
HERVÉ: Ne sois pas pressé.. Bientôt
JAMES: Non a t’entendre raconter nooon, elle s’y connait .. Moi même j’attends mon tour..
HERVÉ: Gars et elle embrasse très bien aussi, ses lèvres pulpeuses la, douces.. Ash.. C’est le bon dossier là-bas
Ils se mirent a rire, avant d’entendre derrière eux..
LUDMILLA: Alors comme ça, tu avais aimé ?!
Tous furent surpris, elle les avait écouté ? Ils ne savaient pas mais à entendre la question c’est sur.. La gêne sur tous les visages, Ludmilla changea de sujet..
LUDMILLA: C’est quoi? Tu parlais de mon baiser nooon.. J’ai pas honte que tu dises a tes amis que je t’ai embrassé la dernière fois
HERVÉ: Euh.. Bref tu fais quoi ici?
LUDMILLA: C’est samedi je savais que je devais vous trouver ici
HERVÉ: Et tu es la depuis combien de temps?
LUDMILLA: Juste a un moment où tu disais que j’embrasse bien..
Il voulait lui demander si c’est seulement ça qu’elle avait entendu mais il n’y arrivait pas, les deux autres n’avaient même pas eu le courage de saluer Ludmilla..
Une gêne qui dura une trentaine de minutes environs jusqu’au moment où Ludmilla décida de changer l’atmosphère sur la table, elle se leva et se mit à danser avec tout le monde comme la dernière fois, où elle permettait aux gars de la toucher comme ils voulaient
Au début ils furent timide mais après ils se lâchèrent et la fête pris une tournure autre, jusqu’à l’heure où il fallait bien rentrer
LUDMILLA: Tu rentres avec moi ?
Chuchota t-elle à Hervé..
HERVÉ: Chez toi?
LUDMILLA: Oui.. On prendra un taxi comme la dernière fois et mon chauffeur viendra nous chercher au même endroit
HERVÉ: OK OK!
LUDMILLA: Pas besoin d’y aller avec tes amis, puisque cette fois on rentrera tous les deux
HERVÉ: Oui, t’inquiète je vais leur dire
LUDMILLA: D’accord
Hervé alla expliquer a ses amis qui l’avaient même encouragé.. C’est ainsi qu’il prit un taxi avec Ludmilla pour le chez elle..
Même parcours que la dernière fois, même endroit, même scénario, il a payé le taxi et ils sont allés entrer dans la dite voiture..
La première des choses que Hervé avait remarqué était le fait qu’une vitre divisait la partie arrière de la voiture à celle du chauffeur… Il regarda Ludmilla qui lui avait juste affiché un sourire très mais alors très coquin…
A SUIVRE….
Episode 4
Hervé était dans la voiture mais son état d’ivresse lui permettait de surmonter sa peur et de croire que rien ne devait lui arriver, une façon de se mettre en confiance.. Dans la voiture avant d’arriver a la maison c’était des attouchements de partout, Ludmilla avait seulement sa main dans le pantalon de son conjoint, des caresses sur la poitrine, des câlins et tout genre de geste coquins..
LUDMILLA: Nous sommes arrivés !
La voiture avait garé et le chauffeur est venu ouvrir la portière, Hervé est descendu, il a essayé cette fois de regarder le chauffeur mais le visage de ce dernier était masqué par un cache nez et ses mains recouvertes de gants blancs.. Directement il s’est retourné et il vit la grande maison de Ludmilla, une maison éclairée et ornée de fleurs qui se cachait derrière un très grand portail noir et rouge
LUDMILLA: On va!!
Elle le prit par la main, pendant ce temps le chauffeur rentra dans la voiture et avança avec la voiture qui disparu.. Arrivés a l’entrée de la porte, elle ouvre et ils entrèrent
LUDMILLA: Bienvenu chez moi.. C’est ici mon humble demeure
HERVÉ: Waouh!!
Ludmilla qui avait pensé que Hervé s’exclamait du fait du luxe que comportait sa maison mais hélas ce dernier était juste surpris car il avait déjà eu a voir cette maison quelque part
L’état d’ivresse et autre chose ne l’aidaient pas donc impossible de vraiment se souvenir, Ludmilla ne tarda pas et le pris par la main pour le guider vers le canapé où elle commença par le déshabiller de manière sensuelle, avant de le conduire vers la table et ainsi de suite jusqu’au sommeil après jouissance des deux tourtereaux…
Le lendemain matin Hervé se réveilla dans une chambre avec des photos accrochées au mur, des photos où des gens étaient placés autour d’un cercueil entrain de pleurer, des photos où on faisait descendre un cercueil dans la tombe, en quelques sortes les photos des funérailles, mais de qui, il ne pouvait savoir
LUDMILLA: Déjà réveillé? Tu as dormi comme un chameau..
HERVÉ: Bonjour princesse, oui je viens a peine de le réveiller
Elle était nue, elle s’approcha de lui et lui fit un bise sur la bouche avant de lui..
LUDMILLA: Le déjeuner est prêt, tu peux venir manger
Il ne résista pas et lui dit
HERVÉ: Je préfère ce déjeuner ci …
Elle aussi ne montra pas de résistance et se laissa attirer par Hervé sur le lit.. Sans préliminaires, il la retourna et essaya directement de la pénétrer
LUDMILLA: Ahhh!!
Il réussit à le faire sans difficulté puisqu’elle mouillait déjà , il se mit a lui faire l’amour…seule chose pendant qu’il appliquait des coups de rein a cette chatte humide, des souvenirs de sa nuit lui défilaient comme un flash dans la tête, il essayait de comprendre pourquoi mais les gémissements de Ludmilla et le goût à l’instant ne lui permettaient pas de vraiment réfléchir..
Quinze minutes après, et il avait joui avant d’aller prendre un bain avec Ludmilla, ensuite il sont sortis pour prendre le déjeuner qui était déjà froid… Lorsqu’il arriva au salon, il reconnu encore la maison mais cette fois, il s’exprima..
HERVÉ: On dirait que je suis déjà arrivé ici.. Comme ci j’ai déjà vu cette maison
LUDMILLA: C’est possible
HERVÉ: Comment ça ?
LUDMILLA: Je ne connais pas tes marches et cette maison, je l’ai achetée, je ne l’ai pas construise
HERVÉ: Mais je n’étais jamais arrivé dans ce coin de la ville auparavant
LUDMILLA: Dis, c’est ça qui te préoccupe autant? Tu vas te rappeler un jour pour l’instant mange
C’est comme ceci qu’il arrêta de réfléchir par rapport a ça et se mit a déjeuner avec sa copine, ensuite il fallait qu’il rentre..
LUDMILLA: Je ne vais pas pouvoir t’accompagner mais tu n’auras qu’à suivre la route et tu vas te retrouver où tu pourras prendre un taxi
HERVÉ: D’accord.. Ce n’est pas grave!
Petit baiser mouillé et langoureux et hop! Hervé pris le chemin du retour.. Comme lui avait dit Ludmilla il se mit a suivre une petite piste qui devait le conduire en route, c’est ainsi qu’il traversa une sorte de cimetière, un très vieux cimetière enfoui dans de hautes herbes, ça ne lui avait rien dit.. Il a marché et enfin il arriva en route..
Il se plaça de l’autre côté pour stopper un taxi, des taxis qui d’abord étaient très rares dans cette zone et le peu de taxi qui passait en le voyant stationné doublait de vitesse pour le traverser comme une fusée.. Pourquoi? il n’avait toujours pas compris.. Alors il se mit à marcher pour raccourcir le chemin toujours en stoppant les taxis et aussi même des voitures personnels qui pouvaient l’aider.. Près à payer une grosse somme, voir même le triple de ce qu’il devait normalement payer, il tomba sur un vieux taxi qui fut le premier a garer
HERVÉ: Bonjour monsieur, j’aimerai arriver au centre ville
Le chauffeur, très vieux et débraillé avec une cigarette dans la bouche, le regarda en baissant légèrement la tête puis lui dit
– 5000
HERVÉ: Il n’y a pas de problème.. Allons y!
Il est monté et ils ont prit la route, plus il roulait, plus aussi le taxi traversait des gens qui stoppaient pour l’église ou le marché, Hervé fut surpris de constater que le chauffeur de taxi ne s’arrêtait pas pour porter un autre client, il se dit que sûrement parce qu’il avait bien payé, il ne voulait pas le surcharger
Ce même chauffeur passait son temps a le regarder comme quelqu’un qui voulait lui dire quelque chose mais n’arrivait pas.. Quelques minutes après, ils furent au centre ville, Hervé sorti l’argent et remit au chauffeur, en descendant ce même chauffeur lui dit
– Bonne balade, rentre pas tard…
Et il démarra, Hervé ne comprit rien, il resta placé là un moment a réfléchir sur ces trucs bizarres qui lui arrivaient depuis hier quand un des ses amis vint le troubler
JAMES: Père, c’est maintenant que tu rentres ?
HERVÉ: C’est comment James ? Oui oui le taxi vient juste de me laisser là
JAMES: Ça va! OK moi je go vite voir une go là qui m’attend
HERVÉ: D’accord.. Je vais a la maison me reposer
JAMES: OK!
Il oublia les paroles du taximan et pris un autre pour sa maison.. Là tout se passa bien.. Lorsqu’il arriva à la maison, il fit un message à Ludmilla qu’il était bien arrivé mais ne recevant aucun accusée de réception depuis près de trente minutes, il essaya de la joindre mais en vain.. Sans toute fois vraiment chercher a comprendre Hervé se mit a regarder sa télé, en causant sur Whatsapp avec des amis, en parlant avec d’autres filles..
Déjà 17h et Ludmilla n’est toujours pas joignable, et net à ce moment voilà ses amis qui entrent..
JACQUES: Oooh le baiseuuuur!
JAMES: Je t’assure Jacques! Le gars tanne la plus grosse bosse et la plus belle fille de Yaoundé actuellement
HERVÉ: Les gars ça dit quoi ?
JACQUES: Gars on est venu te voir, hier tu nous as seulement abandonné.. Hahahahaha
HERVÉ: Gars laissez seulement..
Net au moment où Hervé voulu raconter à ses amis ce qui c’était passé, le flash de sa dernière nuit passa dans sa tête et il se rendu compte que la maison de Ludmilla dans laquelle il avait passé la nuit, et qu’il disait avoir vue, était celle qu’il avait imaginé lorsqu’il mentait a ses amis, pire encore tout ce qu’il leur avait dit concernant les positions et les endroits où il avait couché avec Ludmilla étaient tous identiques sans bavures à ce qui c’était passé réellement cette fois… Mensonge qui, réalité était devenue ?
A SUIVRE….
Episode 5
Jusque là, Hervé s’est entêté et encore une fois n’a pas dit la vérité a ses amis mais a plutôt inventé une histoire pour encore être plus respecté devant ces derniers
HERVÉ: Gars, plus le temps passe, plus elle me surprend cette fille, hier c’était j’ai été surpris de voir un autre visage d’elle.. C’est une bête sexuelle cette fille.. Imagine toi qu’elle est sado..
JAMES: 😦.. Attends sado? Genre elle aime la douleur ?
HERVÉ: Tu connais une autre définition ? On arrive chez elle hier, tu sais que c’est déjà un peu comme le chez moi, donc j’entre je prends un bain pendant qu’elle se déshabille, lorsque je ressors, je la trouve nue, je regarde sur le lit et je vois des menottes, un fouet, un gode même.. Je la regarde, elle me regarde et me dit » Je veux sentir mal » vous savez que jusqu’ici je n’avais jamais eu à faire cette pratique, je la voyais juste dans des films.. Et je le lui ai dit, elle m’a répondu qu’elle devait m’apprendre.. Je lui demande donc comment? Elle me dit de la traiter comme une criminelle, comme ci elle m’avait fait quelque chose que je ne pouvais jamais lui pardonner..
JACQUES: Et ?
HERVÉ: Bon j’ai essayé de penser à quelque chose, j’ai pris le fouet et je lui ai ordonné de se mettre a quatre pattes et de se cambrer, elle a obéit et là, la vue que j’avais sur son intimité dégoulinant de mouille m’appelait à lui mettre un bon coup de bite mais ce n’est pas ce qu’elle voulait pour le moment, alors je me suis approché d’elle et je lui ai donné un léger coup de fouet et elle m’a dit » Tape plus fort, ne te soucis pas de moi » j’ai donc augmenté le rythme, plus je la fouettais, plus elle gémissait très fort, plus elle mouillait, ce qui m’excitait et là comme si je m’y connaissais je me suis laissé emporté par le mouvement, ses grosses belles fesses sont devenues toutes rouges, j’ai pris ses mains et a l’aide des menottes je l’ai attaché sur le lit, j’ai fait pareil avec ses pieds que j’ai attaché à chaque extrémité du même lit..
JACQUES: Ash..
HERVÉ: J’ai regardé sa chatte et je me suis mis à la doigter, en faisant des mouvements de vas et viens, je vous assure elle aimait.. À un moment je me suis senti dominant, je suis monté au niveau de sa bouche, je lui ai ordonné de l’ouvrir et j’ai envoyé ma queue jusqu’à dans sa gorge pendant des minutes et des minutes, je baisais sa bouche.. A première vue tu aurais cru qu’elle n’aimait pas mais pourtant elle adorait.. Lorsque j’ai terminé, elle m’a supplié d’entrer en elle, je ne me suis pas fait prier, je suis entré en elle d’un coup au point où j’ai vu mon engin se dessiner au niveau de son coeur
JAMES: Hahahaha.. Cette fille là, c’est le genre que j’aime.. Waouh! Une salope!!
HERVÉ: Ah oui! Elle m’a beaucoup surpris et je pense que ce n’est que le début
JACQUES: Oh oh! Attends ce n’est que le début et toi tu veux que nous on prenne pour nous quand?
JAMES: Je Wanda sur lui! Donc c’est quand tu vas finir le jus que nous on va venir manger les restes ? Gars donne aussi le numéro on va essayer
Hervé était bloqué cette fois, au fond il ne voulait pas donner ce numéro, mais c’était la règle d’or entre nos trois amis, donc n’ayant pas de choix, il donna quand même le numéro de Ludmilla..
HERVÉ: Mais les gars, ce n’est pas moi qui vous ai donné son numéro, vous allez chercher ce que vous allez lui dire mais ne m’y mêlez pas car moi même je n’ai pas encore fini avec celle
JAMES: Tu nous apprends? Ça cuit ça cuit, Est ce qu’ on manque de filles?
HERVÉ: Voilà..
Ils sont restés a taper les divers sur autre chose après comme des matchs de football, du boulot après il était l’heure de se séparer.. Hervé entre temps essayait de temps en temps le numéro de Ludmilla qui jusqu’ici ne passait pas, il fût inquiet mais il avait essayé de se donner une bonne raison pour trouver le sommeil même si après tout, il se disait aussi que sûrement elle était avec son mari mais en pensant au fait qu’il n’avait vu aucune photo d’un quelconque homme, il pensa directement aux photos qu’il avait vu dans la chambre…
HERVÉ: Humm.. Hervé dors! Sûrement le deuil d’un de ses proches, rien d’alarmant..
Il força le sommeil et s’endormit… Pendant toute la semaine jusqu’à vendredi, l’inquiétude en Hervé s’agrandissait car jusqu’ici le numéro de Ludmilla était toujours indisponible, il n’avait jamais un jour ressenti de l’inquiétude pour une fille avec qui il sortait et a un moment il se demandait ce qui lui arrivait
JAMES: Gars, tu nous a même donné quel numéro qui ne passe pas entre temps ?
JACQUES: Je suis dépassé, j’ai cru que la go m’a même bloqué
HERVÉ: C’est son numéro mais elle a voyagé pour un deuil et il n’y a pas de réseaux où elle est
JAMES: Depuis près d’une semaine ?
HERVÉ: C’est mon deuil ?
JAMES: Peut-être tu nous as aussi donné un faux numéro
HERVÉ: Moi? Pourquoi ? Si je ne voulais pas vous donner son numéro je n’allais pas le faire..
Pourtant au fond de lui c’est ce qu’il voulait faire.. Hervé était tombé amoureux et refusait de l’admettre car jamais un jour il n’avait eu des sentiments envers une fille, il ne s’était même pas rendu compte qu’ il avait commencé à mentir à ses amis et c’est ce mensonge là qui le conduisait à sa perte.. La mission de Ludmilla était entrain de très bien se dérouler..
JAMES: Ah on attend.. Est ce que le deuil ne finira jamais?!
HERVÉ: Voilà…
Le lendemain sans dire à ses amis, Hervé pris la décision d’aller se rassurer chez Ludmilla si tout allait bien car il n’arrivait plus à supporter toute cette inquiétude..
Il était 20h quand il prit la route, il arriva à l’endroit et descendit du taxi, le regard du chauffeur pour bien le regarder lorsqu’il le déposa était à la fois apeuré et étonné.. Il se demandait qui il avait réellement porté dans sa voiture..
Hervé prit le chemin qui mène au domicile de Ludmilla, il ne se perdit pas et arriva devant la grande maison, tout était allumé comme lorsqu’il était arrivé la première fois, lorsqu’il voulu sonner, le portail s’ouvrit tout seul, il ne trouva plus la peine de sonner et entra..
Comme chez lui mais avec le coeur battant, il avançait vers la porte d’entrée qui était ouverte, il entra et entendit des rires au salon, directement il reconnu la voix de Ludmilla, mais avec qui riait elle? Il s’avança et ne vit personne seulement Ludmilla qui était assise seule sur son fauteuil..
HERVÉ: Bonsoir
Elle s’effraya..
LUDMILLA: Hervé ? Qu’est ce que tu fais la?
HERVÉ: Je suis venu me rassurer que tu vas bien.. cela fait une semaine tu es injoignable
LUDMILLA: Oui.. J’ai voulu être seule un moment et j’ai éteint cette ligne
HERVÉ: D’accord.. Mais avec qui tu riais?!
LUDMILLA: Moi? Tu m’as entendu rire?
HERVÉ: Oui quand j’entrais la
LUDMILLA: Non mais attends! Pourquoi tu viens chez moi sans me dire? Tu sais au moins que ce n’est pas poli, même si toi et moi nous sommes ensemble, ça ne se fait pas!
HERVÉ: J’étais juste inquiet c’est pourquoi je suis venue..
LUDMILLA: Tu t’inquiètes pour moi au lieu de t’inquiéter pour toi même qui prend une route aussi risquer tard dans la nuit?
HERVÉ: Désolé.. Je vais rentrer.. Je voulais juste me rassurer que tu vas bien
Ludmilla s’est levée, et a laissé tomber sa nuisette
LUDMILLA: Tu es sûre que tu veux encore rentrer?
Hervé s’est approché et a commencé à l’embrasser avec une rage incroyable, puis elle lui dit
LUDMILLA: Stop!! Suis moi
Ils allèrent dans la chambre et encore une fois comme dans ses mensonges à ses amis, il vécu la même scène, jouets sexuels et même pratique nettement comme ce qu’il avait raconté..
Lorsqu’ils eurent terminé, ils sont restés couchés et enlacés jusqu’à ce que sommeil s’en suivent.. A minuit piles, Hervé eut une envie de faire pipi, dans le sommeil, il ouvra les yeux et se retrouva bras dessus bras dessous avec un…
HERVÉ: Ahhhh!!! 😫😫😥😥
…. Squelette, il se leva en sursaut, il était en bermuda au milieu des tombeaux dans un grand cimetière..
HERVÉ: Où suis je?
L’envie d’uriner avait disparu, il chercha la sortie mais il n’y avait pas de sortie, Hervé était définitivement prisonnier chez les morts….
A SUIVRE…
Episode 6
Dans un monde de morts condamné à faire l’amour avec des filles sorties de nulle part, toute sa vie et sans arrêt… Une atroce punition qui lui était infligée à ce pauvre Hervé…
Deux jours plus tard, Hervé était introuvable, sa famille et surtout ses amis avaient commencé a s’inquiéter, la dernière fois qu’ils s’étaient vu c’était chez lui et jusque là, Hervé n’avait donné aucune nouvelle jusqu’au samedi où il n’avait pas honoré à la tradition, c’est a dire celle de retrouver ses amis au snack comme d’habitude…
JAMES: Hum.. Hervé veut dire qu’il est parti où sans dire aux gens ? Deux jours déjà et son numéro ne passe pas
JACQUES: Gars je commence a sérieusement avoir peur.. Je ne sais pas si il est quelque part, mais si c’est le cas il devrait au moins se soucier des gens
JAMES: Gars moi j’ai peur parce qu’il n’a jamais fait ça, ce ne sont pas dans ses habitudes en tout cas
JACQUES: Il t’avait indiqué la maison de sa Ludmilla la ?
JAMES: Voilà même une piste, peut-être le gars est là-bas il » nyass » lui en paix pendant que les gens sont inquièts hein.. Mais il ne m’avait pas bien indiqué, je crois qu’il décrivait juste la maison
JACQUES: Et le numéro de celle la ne passe même pas!
JAMES: Prions juste qu’il revienne.. Sinon on ira là où le taxi nous avait laissé la et on va se renseigner si on voit une maison avec le portail rouge et noir
JACQUES: D’accord
Nos deux amis restants étaient persécutés par certains membres de la famille, comme quoi ils savent où est passé Hervé, puisqu’ils sont toujours ensemble, un tas de trucs mais certains aussi les soutenaient en disant que si ces deux ne savent pas alors c’est sûrement sérieux.. On se tournait maintenant vers une seule chose.. La prière mais en réalité, il était trop tard pour y penser…
Plus les jours, les heures, les minutes passaient et plus l’inquiétude prenait de l’ampleur.. La famille avait même déjà lancé un avis de recherche, les radios annonçaient et ça faisait mal de voir et d’entendre cela..
JACQUES: Gars je suis déjà la!
JAMES: OK!! Attends je mets vite une tennis on va!
Nos deux amis avaient donc décidé ce jour de se rendre chez Ludmilla, ne connaissant pas la maison, ils avaient pour projet de descendre où elle était descendue la dernière fois et ensuite se renseigner…
JAMES: C’est bon! On peut y aller
Nos amis sont sortis et ont pris le chemin pour la route où ils devaient emprunter un taxi mais sauf que avant d’arriver en pleine route, ils virent de loin une personne qui parlait avec une de leur connaissance au quartier
JAMES: Je demande hein ce n’est pas Ludmilla là-bas ?
JACQUES: Ekieh! C’est comme ci c’est elle..
Pendant qu’ils s’interrogeaient, leur connaissance les pointa du doigt..
JAMES: C’est nous qu’elle cherche
Ludmilla les vit et commença à s’avancer vers eux..
LUDMILLA: James!! Jacques !!
JAMES: Ludmilla.. Comment tu vas ?
LUDMILLA: Ça commence a aller mieux, sauf la fatigue, je suis rentré du deuil ça fait deux jours.. Il fallait que je me repose
JAMES: Ah oui c’est vrai que Hervé nous avait dit que tu as eu un Deuil
JACQUES: Mes condoléances
LUDMILLA: Merci.. En parlant D’Hervé il est où ? J’ai essayé de le joindre depuis que je suis rentré mais son numéro ne passe pas, moi où j’étais il n’y avait pas de réseau
Jacques et James se sont regardés..
JAMES: Donc vous ne vous êtes pas vus ?
LUDMILLA: Hervé et moi ? Depuis que je suis allé au deuil, non!! Je lui avais dit que où je vais la je n’ai pas de réseau donc je serai indisponible
JAMES: Hum..
LUDMILLA: C’est quoi? Quelque chose lui est arrivée ?
Elle avait l’air inquiète et très surprise…
JAMES: On ne sait pas..
JACQUES: Hervé a disparu ça fait près d’une semaine, il est introuvable et injoignable
LUDMILLA: 😦 Introuvable ? Mais comment ça ?
Elle se mit a respirer fortement pour exprimer sa peur et sa panique
JAMES: On venait comme ça chez toi pour voir si il n’est pas là-bas.. Sa famille est inquiète, les avis de recherche sont partout dans la ville..
LUDMILLA: Chez moi? Mais je suis rentrée il y’a deux jours, j’ai essayé de l’appeler mais en vain, mais puisque j’étais fatiguée je me suis d’abord reposée alors aujourd’hui comme son numéro ne passait toujours pas, je suis venu dans ce quartier, il m’avait indiqué qu’il habitait quelque part la, je suis arrivée et j’ai commencé a me renseigner c’est où la fille avec qui je causais en route la vous voit monter et me dit » Les voilà même qui montent là »
JACQUES: Je t’assure que c’est grave.. Depuis une semaine.. On espère juste qu’il soit encore en vie
LUDMILLA: Pourquoi espérer? Ne faites pas ça ? Hervé est encore en vie
Tellement crédible et bonne actrice elle faisait qu’il était impossible pour nos amis de la suspecter seulement pour quelques secondes.. Ils ont fait demi tour et sont allés chez Jacques qui a proposé qu’ils aillent chez lui, car il avait d’autres intentions cette fois dans la tête
LUDMILLA: OK… De toutes les façons je n’ai rien a faire, on y va!!
Les deux amis s’étaient déjà fait signe que James devaient les laisser tous les deux, donc a un niveau du quartier, James prit un autre chemin..
LUDMILLA: Tu ne vas pas avec nous ?
JAMES: Non je vais vite faire une course la et je vous rejoins
LUDMILLA: D’accord
Jacques et Ludmilla sont parti. Arrivés chez lui, il avait très bien reçu cette dernière, il a allumé sa télé et ils ont commencé à visionner, mais lui il était beaucoup plus concentré sur le corps de cette dernière cherchant une faille pour commencer a lui parler de ce qu’il voulait depuis…
JACQUES: Supposons que Hervé ne revienne plus jamais, qu’il a sûrement pris la route pour aller en Mbeng
LUDMILLA: Hum
JACQUES: Non ne t’inquiète pas.. Je dis juste noon..
LUDMILLA: Alors je ne pourrai que lui souhaiter une bonne chance pour sa vie future mais après Mbeng ce n’est pas le paradis comme on le dit
JACQUES: Hahahahaha et toi qu’est ce que tu deviendras ?
LUDMILLA: Moi? Eh ben je vais continuer a mener ma vie tout simplement en sachant qu’il n’était pas fait pour moi et je vais me chercher ailleurs
JACQUES: J’aimerai qu’il ne revienne plus honnêtement
LUDMILLA: Quoi? Mais pourquoi?
JACQUES: Ludmilla tu te rappelles le jour où on te rencontre pour la première fois?
LUDMILLA: Oui!!
JACQUES: Dans les normes c’est moi qui te vois et je dis aux gars que » celle là c’est la femme de ma vie » mais Hervé n’a pas été fair-play il est venu t’aborder.. J’ai été attiré par toi depuis le premier jour et c’est toujours le cas.. C’est entre nous je ne vais pas le cacher, mais j’ai été très jaloux a chaque fois que je vous voyais ensemble.. C’est un peu pourquoi je dis que j’aimerai bien qu’il ne revienne plus mais sinon après tout c’est mon frère je voudrai bien le revoir, il me manque
LUDMILLA: J’adore ta franchise Jacques.. et c’est touchant.. J’avoue aussi que c’est toi que j’avais aperçu en l’entrée mais j’ai été étonné de voir une autre personne venir vers moi, plus surprise encore lorsque Hervé m’a invité sur votre table.. Mais bon
JACQUES: Ah bon? Donc tu veux dire que je t’avais marqué
LUDMILLA: Oui en quelques sortes, c’est ça!
JACQUES: D’accord.. Je ne savais pas..
LUDMILLA: Maintenant tu le sais!! 😈
Ludmilla venait officiellement la de choisir sa deuxième cible…
A SUIVRE….
Episode 7
JAMES: Tu penses que Hervé est encore vivant honnêtement ?
JACQUES: James, j’ai peur de me prononcer dans cette histoire.. J’ai peur!
JAMES: Moi franchement, je commence à vraiment perdre espoir.. Hervé n’est pas du genre à disparaitre comme ça.. Non non et non!! Mon ami est où ? Ça m’arrive de penser à lui et de le voir en danger, je me dis toujours que quelque part, Hervé est prisonnier
JACQUES: De quoi ou de qui? Il a fait quoi ? Humm attendons seulement.. On saura un de ces jours…
Deux mois déjà depuis la mystérieuse disparition de notre cher Hervé, aucune trace, aucune piste, pire même aucun suspect, la famille est dévastée, elle espère tout de même qu’il a choisit de mener une vie solitaire mais la question posée : pourquoi n’avoir rien dit a personne?
Penser à sa mort est une réalité que ses proches essayent de ne pas penser mais après tout ce temps, il faut bien s’y faire, le revoir serait sûrement un miracle à ce moment
Jacques par contre a commencé a accélérer le processus avec Ludmilla, ils ne se voient pas constamment mais parlent beaucoup, elle joue a la fille sérieuse en lui faisant croire que sortir avec deux amis serait mal vu mais ce dernier ne l’entends pas de cette oreille et essaye tout de même de la convaincre
LUDMILLA: Et Hervé? que diront les gens lorsqu’ils nous verront ensemble? Je ne parle même pas du fait qu’il revienne et nous trouve ensemble..
JACQUES: Hervé ne reviendra pas d’aussi tôt et même si il revient je pense qu’il comprendra, tu es une femme, tu dois vivre, il est parti sans te dire, il ne te tuera pas si il te trouve dans une relation, et pour les gens dont tu parles, personne ne connaissait vraiment ta relation avec Hervé, à part James.. C’est un secret qui restera entre nous deux.. Si tu dis que je te plais chose qui est réciproque alors mettons nous ensemble
LUDMILLA: Jacques, moi je ne suis pas une fille comme tu penses, je vous ai longtemps côtoyé et ta vie ne me plait pas, si je me mets avec toi, ce n’est pas juste pour du sexe ou pour combler un manque mais parce-que hors mis le fait que tu me plais bien, je veux être avec quelqu’un pour une bonne et vraie relation
JACQUES: Je ne refuse pas de t’avoir affiché une image de moi qui ne t’a plu, mais je te promets que si tu acceptes que toi et moi on se mette ensemble, je vais changer et je serai seulement avec toi
LUDMILLA: Vous dites toutes ça.. Combien de filles ont suivi ce discours sortant de ta bouche ?
JACQUES: Ludmilla, le problème ce n’est pas ça, ce n’est pas de ça qu’il s’agit, écoute moi, observe moi et tu pourras apporter ton jugement
LUDMILLA: D’accord.. On verra! Donne moi encore un peu de temps
JACQUES: Encore du temps?! Bref comme tu veux
Ludmilla savait qu’elle tenait Jacques, elle savait que même si elle le repoussait comment, il n’allait jamais baissé les bras et le but était de lui montrer qu’elle n’allait pas céder facilement
LUDMILLA: Je veux que dès a présent tu me montres que tu as changé, abstiens toi et attends jusqu’au jour où je serai prête pour toi.. Tu peux le faire?
JACQUES: C’est facile ça.. Considère que ma bite désormais elle t’appartient
LUDMILLA: D’accord. La balle est dans ton camp..
JACQUES: OK!!
Ce soir c’était un soir de fête comme d’habitude, Ludmilla avait donc donné ce défi à Jacques et il avait accepté.. Sans même savoir pourquoi au , Jacques avait décidé de relever ce défi, c’est a dire s’abstenir pour pouvoir gagner le gros lot
La soirée terminée Ludmilla a décidé de rentrer seule lorsque les gars ont voulu l’accompagner
LUDMILLA: Non ça va! Je vais bien arriver
JACQUES: Tu es sûre ?
LUDMILLA: Oui merci.. T’inquiète
Jacques et James après des bises d’aurevoir ont pris la route du chemin retour…
JAMES: La fille croit alors que tu es sérieux hein.. Hahahaha.. Mais gars tu lui mens aussi trop.. Ça sera difficile pour moi de m’impliquer à mon tour
JACQUES: Gars ce n’est même pas d’abord facile de lui faire sortir Hervé de la tête, donc chacun va se battre comme il peut, tous les moyens sont bons tara
JAMES: Non mais baisse le niveau quand même pour me faciliter l’entrée
JACQUES: Hahahaha..
Les jours passaient et Jacques tenait sa parole, jusqu’ici il n’avait eu de contact avec aucune fille, même pas un bisou, il passait tout son temps au téléphone avec Ludmilla, les deux parlaient de tout et de rien.. En supposé stratège qu’il croyait être, il ne voulait pas brusquer Ludmilla en lui parlant de sexe, ça devait la chasser se disait il et elle devait sûrement penser que c’est pourquoi il était là.. Même si c’était le cas
Mais grande fût sa surprise que c’est plutôt elle qui aborda le sujet ce jour pendant qu’ils parlaient sur Whatsapp…
LUDMILLA: Tu évalues ton amour pour le sexe a quel pourcentage?
JACQUES: Le sexe? Humm je dirai 200%
LUDMILLA: 200% ? Seulement ? Hahaha tu es drôle ?
JACQUES: C’est petit?
LUDMILLA: Pour moi! Oui
JACQUES: Et toi?
LUDMILLA: Moi c’est a l’infini.. Je crois parfois que je suis même une nymphomane
JACQUES: Ah bon ? Alors dans ce cas, je sens qu’on va s’entendre
LUDMILLA: Et c’est quoi ton fantasme ?
JACQUES: Faire l’amour avec plus de 3 filles et les satisfaire toutes
LUDMILLA: Une partouze c’est ça ?!
JACQUES: Oui jusqu’ici mon maximum c’est avec deux filles mais bon.. Je ne pense plus que ça sera possible
LUDMILLA: Et pourquoi ?
JACQUES: J’ai décidé de changer de vie lorsqu’on sera ensemble
LUDMILLA: Ça ne t’empêchera pas de réaliser tes fantasmes..
JACQUES: Ah bon? Tu pourras me permettre de le faire
LUDMILLA: Oui tant que tu me dis seulement
JACQUES: D’accord.. Et toi ton fantasme
LUDMILLA: Mon fantasme? Hahaha tu vas le trouver bizarre
JACQUES: C’est ça la particularité des fantasmes.. Ils sont bizarres et plus c’est bizarre plus c’est excitant
LUDMILLA: Mon fantasme c’est de réaliser les fantasmes de mon homme..
JACQUES: Réaliser les fantasmes de ton homme
LUDMILLA: Oui! Tout simplement
JACQUES: Waouh! C’est vraiment bizarre ça 😅
LUDMILLA: Je te l’avais dit
JACQUES: OK.. J’ai compris!
Jacques ne savait pas dans quoi il se fourrait, ni avec qui il parlait réellement, il était content d’avoir trouvé quelqu’un avec qui il partageait des folies sexuelles comme il aimait, le pire c’est que tout comme Hervé au début, il a commencé a vouloir garder Ludmilla pour lui seul. Une attitude qui non seulement devait l’envoyer dans le gouffre mais aussi qui devait le faire agir mal envers son ami James..
JAMES: Gars franchement tu perds le temps, si c’était moi c’est que j’ai déjà fini avec elle.. Mince c’est comment ? Tu es devenu faible hein?
JACQUES: Gars ce n’est pas avec toutes les filles qu’on fait les choses comme ça et même, avec elle on prend le temps
JAMES: Eh aaah, tu fais déjà les choses de Hervé quand il devait nous donner le numéro hein..
JACQUES: Non! Aka! Je te dit juste la vérité noon, c’est quand même une fille mature et différente des affamées qu’on a l’habitude de jouer avec là
JAMES: Tu me sors déjà le C.V de la nga, ce n’est pas mon problème, nyass la vite je passe aussi à l’action, sinon tu vas Wanda que je passe même avant toi hein
JACQUES: Eh calme toi.. Tu vas attendre
L’esprit de possession envahissait Jacques, c’était la faute à Ludmilla qui les envoûtait ainsi car eux même ne se doutaient de rien…
Pendant qu’ils parlaient Jacques reçu un message de Ludmilla
» Salut bb, j’organise une petite fête à la maison avec des amis, Si tu es disponible tu peux venir »
Et lui de répondre…
» OK.. Je serai la avec James »
» Non! Il me reste une place, j’ai pensé a toi »
» Tu veux que j’abandonne mon ami ? »
» Si tu ne peux pas, une autre fois alors, je voulais passer une belle soirée avec toi »
» D’accord, de toutes les façons, je viendrai mais je ne lui dirai pas où je vais pour qu’il ne prenne pas mal »
» D’accord chérie.. C’est à 20h, quand tu seras au niveau où le taxi nous avait laissé la dernière fois, mon chauffeur viendra te chercher »
» D’accord chérie, je prends vite un bain et je te rejoins »
A SUIVRE….
Episode 8
Jacques avait menti a son ami pour que ce dernier le laisse tout seul, même comme James connaissant son ami, il avait eu un pressentiment…
JAMES: OK gars! J’espère que ce n’est pas quelque chose de très grave
JACQUES: Oui oui ça ira!!
JAMES: Je te tiens informé alors
Jacques avait inventé une histoire a James comme quoi il avait un oncle qu’il avait oublié d’aller voir et qui était très soufrant pour se débarrasser de lui..
C’est ainsi que à 20h, Jacques était prêt, il s’est mis sur son 31 et a pris la route.. Normalement les taxis furent rares mais après de longues minutes il réussit a trouver un taxi et qui c’était ? Le même chauffeur qui avait porté Hervé lorsqu’il rentrait un fameux matin mais il ne pouvait pas savoir
Tout comme avec Hervé, ce même taximan se comportait de façon curieuse, d’une manière qui avait intrigué notre ami qui n’a pas manqué de lui demander ce qui n’allait pas
JACQUES: Monsieur pourquoi me regardez vous ainsi, on se connait quelque part ?
– C’est a vous que je demande si vous ne me connaissez pas!
JACQUES: Je suis censé vous connaitre.. C’est ça ?
– Oui ça dépend de qui vous êtes réellement
JACQUES: Humm.. Je suis désolé mais vous vous trompez de personne
Et il arrêta de parler, même si il était mal a l’aise dans ce taxi a cause du comportement du chauffeur, le but pour lui était juste d’arriver au lieu de la fête.. Après de longues minutes de trajet, ils étaient enfin arrivés, Jacques est descendu du taxi après avoir payé, La zone était calme et noire, rien a l’horizon, le tout couronné par un vent frais et très sec qui donnait une chaire de poule inexplicable…le taximan s’est penché vers lui et lui a dit..
– Bonne chance!!
Et il a fait demi tour a vive allure.. Jacques ne comprenait pas qui était vraiment ce bizarre chauffeur, il s’est dit sûrement il n’avait pas toute sa tête.. En revenant sur ses objectifs, il prit son téléphone pour appeler Ludmilla qu’il était la mais il n’eut même plus la peine de le faire que voilà la voiture qui arriva, gara et klaxonna pour lui demander de venir monter..
Il s’est approché et la portière s’est ouverte, il est monté derrière et comme avec Hervé, l’accès au chauffeur était bloqué donc impossible de savoir qui était le chauffeur de cette grosse voiture..
Ils ont pris la route, il ne voyait rien avec tout ce noir, après 10 minutes la voiture s’arrêta et la portière s’ouvrit toute seule a nouveau, il regarda vers l’extérieur et reconnu le portail noir et rouge comme disait son ami Hervé, il a compris qu’il était arrivé, il est descendu et est allé vers l’entrée..
Pas besoin de toquer le portail était ouvert, mais pour une maison en fête, c’était plutôt calme, lorsqu’il a franchi le portail, il a reçu un message de Ludmilla » Entre en suivant juste les marches devant toi »
Il a suivi les instructions et c’est ainsi qu’il se retrouve dans la maison.. Lorsque la lumière de la pièce l’avait ébloui
JACQUES: 😦😦
Telle fut sa réaction après ce qui était devant lui.. On aurait dit une fête plutôt sexuelle, devant lui un groupe d’au moins 50 personnes, des garçons et des filles tous nus entrain de baiser ensemble,des filles même qui s’embrassaient entre elle et se léchaient, des filles qui avaient deux bites en elle, toutes sortes de pratiques devant ses yeux ce soir là…
LUDMILLA: Pourquoi tu as l’air surpris ?
A côté de lui, Ludmilla qui n’était pas dans la masse, justement il n’avait pas prêté attention car il était encore étonné par ce qu’il voyait..
JACQUES: Non pour rien.. Je pensais que c’était une fête comme tu m’as dit
LUDMILLA: Mais c’en est une.. Qu’est ce que tu crois ?
JACQUES: Je n’ai pas su que c’est de ça que tu parlais
LUDMILLA: Hahaha.. Je t’attendais.. Viens là
Elle le tira par sa chemise et l’amena vers la chambre suivie par deux autres filles qui déjà étaient nues.. Jacques compris directement ce qui devait se passer et ça l’excita
LUDMILLA: Humm.. Déjà excité a ce que je vois!!
JACQUES: Ouais.. Je suis très sensible
LUDMILLA: J’adore ça..
Elle l’a jeté sur le lit et a envoyé les deux autres filles s’occuper de lui pendant qu’elle enlevait ses vêtements..
Les deux filles se Sont approchées de Jacques, elles ont commencé par le caresser, l’embrasser, elles léchaient toutes les parties de son corps avec une telle sensualité et un appétit jusqu’au moment où Ludmilla déjà toute nue demanda a participer cette fois
Elle se plaça devant Jacques qui admirait ses formes sans être couvertes cette fois, son regard montrait l’envie qu’il avait de pouvoir les toucher a sa guise…
Elle se pencha vers sa queue et sans qu’elle ne frôle les bords de sa bouche, elle se retrouva au fond de sa gorge, avant de remonter en la suçant tout doucement , pendant ce temps Jacques se faisait toujours caresser les autres parties du corps par les deux autres filles
Pendant de bonnes minutes Ludmilla prenait le soin de lustrer l’engin de Jacques qui savourait chaque geste de sa part.. Puis très lentement elle monta sur lui en le fixant droit dans les yeux comme un prédateur et sans voir ça venir, il senti sa queue entrer dans la chatte de Ludmilla comme une glace qui fond sur la langue.. Il était en elle…
Il se mit a faire des mouvements de vas et viens d’abord lentement mais ensuite plus fort.. Pendant qu’il la pénétrait , les deux se regardaient dans les yeux et comme un éclair en une seconde, le visage de Ludmilla changea et devint comme pour un démon, le temps pour lui de cligner des yeux elle avait repris son apparence, il a cru à une illusion et a continué..
De positions en positions, Jacques n’était que concentré sur Ludmilla, les autres filles ne l’intéressaient pas vraiment, Ludmilla avait quelque chose de spécial.. Mais puisqu’il aimait tant ces pratiques, il finit par donner aussi du plaisir a ces deux filles qui en redemandaient mais pas pendant très longtemps, il se retourna encore vers Ludmilla
LUDMILLA: Attends…
JACQUES: Quoii?
LUDMILLA: Dis moi.. Tu as déjà eu a sodomiser une fille ?
JACQUES: Non!
LUDMILLA: Je veux que tu me le fasses ?
JACQUES: Sérieux ?
LUDMILLA: Oui j’adore aussi par là
JACQUES: Je ne l’ai jamais fait je ne sais pas si je saurai
LUDMILLA: Essaye..
JACQUES: OK!
Des lubrifiants l’avaient aidé a faciliter l’entrée a ce niveau, et sans difficulté il se retrouva a l’intérieur et commença a y prendre goût, il n’était pas le seul car même Ludmilla semblait kiffer car elle alignait des orgasmes
LUDMILLA: Plus fort!! Vas y plus fort!! Oui Jacques !! Oui Jacques!! Vas y!! Dis moi que je suis la seule a qui tu le feras
JACQUES: Tu es la seule a qui je le ferai bb
LUDMILLA: J’espère bien.. J’espère
Pendant des heures au point où les deux avaient jouit en même temps et après une seule chose a faire.. Dormir..
Un sommeil tellement profond que Jacques ne s’est pas réveillé dans la nuit, tellement il était épuisé.. Au petit matin donc quand il avait réussi a ouvrir les yeux , sa conscience revint et il se souvint qu’il n’était pas chez lui, il fallait donc bien qu’il rentre mais a ce moment il se rendit compte de quelque chose de bizarre..
JACQUES: C’est quoi ça ? 😦 où suis je ?
Il était au milieu de 2 costauds mâles tous nus, qui dormaient comme des personnes qui avaient baisé toute la nuit et qui l’avaient enlacé dans leurs bras, il voulu se dégager de lui mais il se senti faible, en se levant pour sortir de leur emprise, il senti une masse au niveau de sa poitrine, lorsqu’il baissa la tête il vit des seins.. Il avait une poitrine de femme
Il toucha pour voir si c’était réel et effectivement c’était la vérité.. Il regarda son sexe et pire il avait déjà un vagin.. Oui Jacques s’était transformé cette nuit en fille….
A SUIVRE….
Episode 9
Jacques avait essayé de se lever et les deux costauds gars l’ont directement bloqué en le remettant sur le lit..
– Où vas tu si tôt ma belle ?
Lui demanda l’un deux, Jacques regarda au niveau du drap et vit une bosse se dessiner en gonflant le drap, l’un des gars se mettait en érection.. Lorsqu’il a ouvert la bouche pour répondre, le son de sa nouvelle voix lui fit comprendre qu’il n’avait pas seulement des seins ou un vagin mais aussi une voix féminine.. Jacques souhaitait, Jacques espérait que tout ceci soit un rêve mais hélas…
JACQUES: Qu’est ce que je fais la? Où est Ludmilla ?
– Tu demandes ce que tu fais ici? Hahaha Eh Georges la petite a abusé sur l’alcool hier apparemment
– Hahaha. Ça se voit, elle ne se souvient de rien
– Il faudra lui rafraichir la mémoire je crois
– Volontier!!
L’un des gars enleva le drap sur lui et Jacques vit son machin braqué et tendu, rempli de veines dessus, son coeur se mit a battre très fort, Jacques se dit que si c’était un rêve il était temps qu’il se réveille mais apparemment c’était impossible… L’un des gars surnommé Georges, s’approcha de lui, pendant qu’il reculait pour s’échapper de son bourreau en même temps
JACQUES: Je ne suis pas ce que vous pensez, je suis un homme
Avec sa voix féminine, comment allaient ils accepter ce qu’il disait ? qui étaient ils même ? D’où même sortaient ils ? C’était là les questions que Jacques se posaient dans la panique et la peur
En reculant en même temps, Jacques senti à l’instant des mains musclées qui le bloquaient par derrière la nuque, il a retourné la tête et net il se croise avec une autre bite devant son visage, l’autre gars n’a pas attendu et il l’a envoyé dans la bouche de Jacques et a commencé a faire des vas et viens a l’intérieur.. Il bloquait la petite tête de fille de Jacques dans sa grosse main en faisant des vas et viens cadencés, après ces quelques vas et viens, il a retourné la tête de Jacques vers l’autre aussi, Georges, et lui aussi sans se faire prier a envoyé sa queue dans la bouche de Jacques, et a commencé a faire le même mouvement..
A l’intérieur de Jacques, il ressentait un extrême dégoût de ce qui était entrain de lui arriver mais a l’extérieur, son corps acceptait cette pratique.. Jacques se retrouvait même entrain d’ouvrir la bouche pour recevoir leurs pénis..
– Eh Georges tu passes en premier ?
– Bah ouais! Tu es passé en premier hier nuit.. A mon tour
JACQUES: 😦
Jacques n’en revenait pas.. Il a demandé aux gars..
JACQUES: Attendez on l’a fait ? Vous… Vous m’avez baisé? 😦
– Ta chatte peut te répondre
Jacques a baissé sa tête et a confirmé son intimité dégoulinant de mouille..
– Tu as vu ? C’est comme ça que tu mouillais hier soir
– Allez Georges ! Assez bavarder! Vas y prends la!
Jacques était devenu faible comme une fille, face a ces deux colosses, qu’allaient ils faire, Georges l’a retourné et d’un coup
JACQUES: Ahhhh.. Non non!! Non non!!
Georges n’entendait pas ça apparemment, il accélérait ses coups, quand l’autre gars a constaté que Jacques criait beaucoup, il est venu le faire avec son pénis dans sa bouche….Jacques essayait maintenant de crier mais sa bouche était pleine..
Georges après 15 bonnes minutes, donna la place a l’autre et pris la place de l’autre et encore pour 15 bonnes minutes Jacques se faisait ramoner dans son nouveau corps
Puis lorsqu’il avait cru que tout était terminé,il fut surpris de voir les deux se positionner pour lui administrer…
JACQUES: Non!! Non !! Pas ça !! Tout sauf ça ! Tout sauf.. Aaaaaahhh
Une double pénétration.. Il avait à la fois un pénis dans sa chatte et un autre dans son anus.. Ces gars bien membrés a la base ont baisé Jacques pendant plus d’une heure avant d’éjaculer dans sa bouche, sur son visage et sur ses seins avant de le laisser coucher comme un mort
– Reposes toi, on t’a loué pour 3 jours, ne l’oublie
– Elle nous a pourtant dis être résistante..
– Elle a cru que nous étions des blagueurs.. Hahahaha
Les 2 colosses sont sortis, la force d’être surpris, Jacques n’en avait même plus, il se posait des questions, jusqu’ici il ne comprenait pas ce qui lui était arrivé.. Comment était il devenu une femme? Où était Ludmilla? Il ne pouvait pas répondre à ces questions
C’est ainsi que durant 3 bons jours,Jacques fut abusé sexuellement par ces deux gars qui le libérèrent le troisième jour à minuit
– OK! Tu as eu ton argent, tu peux maintenant partir
– Tu as été très bonne
Jacques voulait leur demander de quel argent parlaient ils mais il avait déjà la liberté, et ne voulait pas que quelque chose change cela.. Il est donc sorti sans poser de questions
– Et une dernière chose, ne te retourne pas lorsque tu prendras la route..
La maison avait changé, ce n’était pas la même maison que celle de Ludmilla où il était entré la nuit dernière.. Il est quand même arrivé dehors et a pris la route pour rentrer sans argent, sans rien, une seule phrase dans la tête » Ne te retourne pas «
Jacques s’est mis a avancer, c’est a ce moment qu’il se rendit compte qu’il traversait un cimetière, la peur l’envahit encore, mais il devait arriver en route au moins.. Derrière lui des bruits comme ci quelqu’un le suivait, lui qui voulait se retourner se souvint de l’ultimatum.. Alors il continuait d’avancer et derrière les pas ne faisaient que s’accentuer et avaient l’air d’accélérer, lui aussi se mit a presser le pas sans se retourner
Il pleurait même, quand il vit la route, il cru qu’il était sauvé, pourtant rien n’était fini
– Bonsoir ma belle
Un bandit devant lui avec un long couteau limé des deux couteaux
– Qu’est ce qu’une belle femme cherche toute seule dans la nuit dans des endroits pareils
Une autre voix derrière elle..
JACQUES: Je sors de chez mon copain et on a eu des problèmes
– Ton copain?
Ils se regardèrent..
– Ton copain? Il vit où ?
JACQUES: Juste là en bas!
– Eh Tomy, la poulette elle veut nous prendre pour des mboutmans ? Elle dit qu’il y’a une maison là en bas
– Hahaha.. Eh poulette, de quelle maison tu parles? Y’a aucune piaule en bas là
JACQUES: Si je vous assure, on peut aller je vous montre
– Hahahaha elle insiste..
Il s’est approché de Jacques avec son couteau et lui a dit
– Si on descend, et que tu nous a fait marcher pour rien.. Tu verras ce qui va t’arriver.. Allez avance.. Tu vas nous montrer cette fameuse maison
Jacques qui ne devait pas se retourner se vit obliger de le faire, ses deux bourreaux derrière lui, il avançait avec espoir de trouver Georges et son ami chez eux
– Eh Poulette depuis qu’on marche là ?
JACQUES: Nous sommes… 😦
Il pointa le doigt où il savait qu’il y avait la maison mais elle n’était plus là, il regarda a gauche, il regarda à droite, devant , derrière, la maison avait disparu..
– Tu as perdu ta langue ?
Demanda Tomy
Jacques ne savait plus quoi dire… Il a seulement entendu l’ami de Tomy dire ..
– Eh Tomy.. Je passe en premier..
Les bruits d’une ceinture qui se défaisait, les bruits d’une braguette qui s’abaissait, des bras sur ses deux épaules.. Jacques allait se faire violer….
A SUIVRE….
Episode 10
Souillé, Humilié, brutalisé, épuisé étaient ce qui restait de Jacques après que ses bourreaux aient abusés de lui..
– C’était un bon coup
– Ah oui! Si on pouvait avoir des comme ça chaque trois jours ça nous ferait du bien
– Vraiment je te dis
Jacques était couché au sol, vêtements déchirés et presque sans force même.. Ses bourreaux l’ont abandonné là et sont partis.. Presque en pleures, il commença encore à suivre des bruits bizarres autour de lui, il puisa donc le peu d’énergie qui lui restait et il a pris la route du chemin retour, il était presque 3h du matin..
Il se mit à marcher, sans argent en poche, la seule solution était de marcher à pieds même si il fallait arriver au petit matin
Déjà près d’une heure de marche dans une nuit froide et même pas l’ombre d’un chat pour ne pas dire une voiture.. Jacques marchait, douleurs dans tout le corps, ses fesses qui chauffaient en même temps, sale il était
Après deux bonnes heures de marche, il réussit a arriver où il y avait déjà un peu de monde, entre des gens qui vaquaient a leurs occupations et des élèves ou étudiants qui essayaient de vite gagner l’école..
Il constata à un moment que beaucoup de personnes le regardaient d’une certaine manière, certains étaient apeurés, d’autres qui l’esquivaient et aussi qui traversaient la route lorsqu’il venait devant eux.. Ses demandes d’aide n’étaient pas gérées, qui devaient écouter une » folle » ? C’est ainsi qu’on le qualifiait
– Weerrrr ma soeur, les conditions! Quand on vous parle ici dehors! Qui vous demande même souvent d’entrer dans les sectes? Regarde toi maintenant.
Lui qui voulait expliquer qu’il avait été agressé, personne ne voulait l’écouter
– Il faut supporter! Quand tu partais entrer tu étais avec qui?
Des rires, de la pitié mais personne pour l’aider, il continua donc son chemin, jusqu’à son domicile où il arriva aux environs de 7h45.. Lorsqu’il fut devant la porte sa chambre, il s’écroula comme sauver.. Ça lui arrivait d’oublier qu’il était devenu une femme pire avec toutes ses maltraitances, il avait l’air d’une folle
– Tu fais quoi la? Pars d’ici
Son bailleur qui était sorti de chez lui pour le ou la chasser selon ce qu’il voyait
JACQUES: Papa Yô c’est moi..
– Toi qui? Lèves toi.. Allez souvent faire votre folie la très loin..
…
– Tu ne pars pas?! Attends moi là
Papa Yô entra chez lui et alla prendre un bâton pour lui frapper dessus
– Quitte d’ici.. ce n’est pas ici qu’on t’a rendue folle.. Jusqu’à elle connait même mon nom, tu m’as déjà vu dans vos sectes la? Pars d’ici
Des cris qui avaient alerté le quartier, une, deux, trois et maintenant plusieurs personnes étaient autour de lui pour savoir ce qui se passait exactement.. Des témoignages..
– J’ai vu la femme ci passer là tout a l’heure, d’autres disent même que c’est depuis qu’on la voit marcher partout et manger dans les poubelles depuis des jours
Les camerounais et l’exagération,
JACQUES: C’est moi Jacques, j’ai été transformé en femme et cette nuit on m’a agressé..
– Écoutez ce qu’elle dit, Si tu es une copine à Jack, sache qu’il ne vit plus ici.. Il est venu porter ses effets l’autre jour pour déménager
JACQUES: Comment ça ? Il est parti? Mais quand ? Mais où ?
– Voilà.. Maintenant tu demandes où il est parti hein.. Tu n’es plus Jacques transformé en fille
Jacques ne comprenait pas comment était ce possible, ceci n’était que de la pure sorcellerie, lui qui avait transformé en fille mais maintenant on lui disait qu’il avait plutôt déménagé mais comment?
Plus lui il voulait réfléchir plus la pression des voisins et autres montaient, on lui demandait de partir de là, Papa Yô déjà a bout frappa son bâton sur lui, ce qui le poussa à se lever et à partir..
Jacques était déboussolé, une seule personne vers qui se tourner maintenant, son ami James.. C’est ainsi qu’il prit la route pour arriver chez ce dernier.. A distance il le vit assis devant sa cours entrain de manipuler son téléphone.. James aussi qui le vit dans son apparence de femme souillée prit peur, se leva et entra chez lui en barricadant ses portes
JACQUES: James! James!! C’est moi.. C’est moi Jacques!
James ouvrit un petit côté de sa fenêtre..
JACQUES: Ouvre moi s’il te plait, j’ai soif
JAMES: Je demande hein mama, on t’a envoyé ? on se connait ?
JACQUES: James c’est une longue histoire, Ludmilla m’a tué
JAMES: Ludmilla c’est qui ?
JACQUES: James la dernière fois samedi on était ensemble, je t’ai menti où je partais mais en réalité j’allais chez Ludmilla ma copine et c’est elle qui m’a rendue comme ça!
James regardait Jacques en fille mais pour lui c’était juste de la sorcellerie, il ne pouvait même pas y croire
JAMES: Ma mère si on t’a envoyé va dire que tu ne m’as pas vu.. Jacques a déménagé pour l’extrême Nord l’autre jour, tu viens avec les grosses fesses comme ça me dire que c’est toi Jacques? Pardon quitte devant ma maison
JACQUES: James crois moi s’il te plait
JAMES: Si je sors d’ici, je vais te faire très mal.. Pars loin.. Tu viens me laisser la poisse ici.. Quand vous partez même entrer dans vos choses là à cause de la facilité vous nous voyez souvent.. On demande aux jeunes filles de travailler, elles suivent les papas.. Va chez le père qui t’a fait ça demander pardon.. On se connait ?
JACQUES: James je n’ai jamais déménagé, la nuit là, Ludmilla m’a transformé en fille et j’ai été abusée par plusieurs mecs
JAMES: Tu es encore devant ma porte? Va loin!!
Il ouvra sa porte avec un fer pour frapper ça sur Jacques mais ce dernier se mit a reculer et après quelques minutes où il avait encore longtemps supplier, au point même de raconter à James ce qui s’était vraiment passé…
JACQUES: J’ai l’impression que cette fille veut nous faire payer de nos actes, elle est responsable de la disparition de Hervé.. James je suis arrivé chez elle mais quand je repars, l’endroit est tout simplement vide
JAMES: Pars d’ici
JACQUES: Hum.. OK! Mais fais gaffe.. Si Ludmilla s’approche de toi.. Fais très attention, elle est dangereuse.. Ce n’est pas une fille normale comme nous
JAMES: Donc tu es normale? La folie hein.. Dégage
Jacques a bout fit demi tour, assoiffé se baissa pour boire une eau de source inconnue dans un fut abandonné près d’une maison..
James le voyait partir…
JAMES: Une belle fille comme ça, c’est votre corps qui va vous conduire à ce genre de choses, on vous demande de travailler, vous, dans vos têtes c’est la facilité.. Tu viens me dérangder
Mais après quelques heures de réflexion par rapport à cette situation qu’il venait de vivre, James commença à se poser de nombreuses questions, comme celles de savoir comment une soit disante folle pouvait connaitre autant de choses parmi toutes ce qu’elle avait citées.. Le nom de ses amis, sa maison, le nom de la dernière fille avec laquelle ses amis fleurtaient avec la disparition de Hervé mais aussi avant le déménagement brusque de Jacques… Il se dit tout ceci n’était pas sûrement au hasard… Il prit son téléphone et appela un de ses oncles réputé dans le mystique..
#AU_TÉLÉPHONE
JAMES: Allô tonton Malep.. Je veux te voir!
A SUIVRE…
Episode 11
Malep n’était pas un oncle direct à James, mais juste une connaissance dans son village natal.. Ce dernier était réputé pour des pratiques malsaines dans le village où il était né et grandi, suspecté par les villageois d’être a l’origine de plusieurs décès dans le village en complicité de certains autres, il fut banni du dit village a jamais.. Alors il alla s’installer dans une petite brousse où il s’était déclaré tradi-praticien où il se faisait de l’argent en échange de ses services
Lorsque James l’avait appelé, il n’avait pas hésité a l’écouter..
MALEP: Oui James.. C’est toi ?
JAMES: Oui tonton Malep..
MALEP: Je suppose que tu ne m’appelles pas pour prendre de mes nouvelles
JAMES: Non tonton Malep
MALEP: C’est donc pourquoi? Dis moi fiston
JAMES: Tonton C’est mieux que je vienne te voir en face pour t’en parler car c’est assez compliqué comme problème
MALEP: D’accord
Malep lui indiqua donc comment il devait marcher pour arriver à son domicile..
MALEP: Et pour vite être reçu, il faudra être là très tôt
JAMES: D’accord tonton, je prendrai la première voiture demain matin
MALEP: D’accord.. Je t’attends Fiston
James ne perdit pas le temps, il n’avait même presque pas dormi, entre crainte et voyage il n’avait pas pu trouver un bon sommeil.. le matin très tôt a heure, il était en route pour l’endroit où vivait son fameux tonton
Un petit village de presque 50 habitants, il était allé logé dans une brousse au fond de la forêt.. James est arrivé et il ne fut difficile pour lui d’être sur le bon chemin.. Juste après avoir demandé de quel côté vivait le grand marabout Malep, on lui avait montré le chemin..
Il emprunta donc ce chemin qui le mena a l’intérieur de la forêt mais suiva la petite piste débroussaillée qu’on lui avait demandé de suivre jusqu’au fond..
Effrayante avec des bruits bizarres, cette forêt ne présageait rien de bon.. Après quelques minutes de marche, il arriva devant une petite hutte faite de paille.. Les effets dehors lui avaient montré qu’il était sur le bon chemin ou même qu’il était déjà arrivé..
JAMES: TOC TOC TOC !
Dit il a voix haute..
MALEP: Oui c’est qui?
JAMES: Tonton Malep.. C’est moi James!
MALEP: Eh fiston tu es déjà la?
Dit il la tête à moitié dehors en guettant son neveu..
MALEP: Viens!
James s’approcha et Malep l’invita à entrer…
MALEP: Tu es vraiment venu tôt hein, je reçois souvent à 9h.. Il est 7h..
JAMES: Je t’avais dit que je vais prendre la première voiture
MALEP: Oui c’est même très bien.. Là tu seras le premier que je vais recevoir, lorsque les esprits seront là, pour l’instant ils se reposent, on a trop travaillé hier.. Ah mon fils les gens ont les problèmes ici dehors
JAMES: Ça dépasse le mien? Hum je risque même mourir tonton
MALEP: Mourir? Hahahaha mais pourquoi ? tu me diras lorsque j’aurai les » Oreilles » pour l
t’écouter
De quelles oreilles parlaient ils? En fait ,Malep disait qu’il était une sorte de guérisseur qui se laissait posseder par différents esprits pour soigner, blinder, ou alors tuer.. Il faisait dire qu’il avait au moins 6 esprits différents qui entraient dans son corps lorsqu’il travaillait sur une personne..
MALEP: Pour le moment, il y’a a manger dans…
JAMES: Non non.. J’ai mangé en venant…merci
MALEP: Haha.. OK OK si tu le dis
James avait hâte que l’heure arrive, mais ça avait l’air tellement long parce qu’il ne faisait rien, il passait son temps à dialoguer avec Malep qui lui racontait les choses de leur village
MALEP: Ils m’ont chassé en disant que c’est moi qui tuais les gens! Si ils savaient même que c’est moi qui les protégeais dans ce village.. Pourquoi depuis que je suis donc parti les gens meurent encore ? Ils diront que c’est moi ? Certains viennent ici pour me demander de revenir.. J’ai dit jamais, je me sens mieux ici et je reste
James l’écoutait sans toutes fois l’entendre, il regardait l’heure qui finit par arriver
MALEP: Sors! Quand je vais t’appeler, tu reviens !
JAMES: D’accord
James est sorti et a l’extérieur il y avait déjà du monde qui attendait, un sacré monde, il avait pris toute la place et certains étaient même débouts, il est allé se placer dans un coin près de la porte pour attendre qu’on l’appelle et quelques minutes après
MALEP: James!!
Avec une voix qui n’était plus celle de son tonton, il eut peur et entra.. Lorsqu’il franchit la porte et regarda devant lui, son oncle assis les yeux fermés mais qui avait l’air de le voir
MALEP: Hum! Assieds-toi garçon
James s’est avancé et s’est face a lui..
MALEP: Tu te balades avec le cercueil ? Tu pars où avec ?
James ne comprenait pas, de quel cercueil parlait il ?
JAMES: Tonton, le cercueil ?
MALEP: Hahahaha..Tu asfait quoi a la fille qui te pourchasse la? Elle t’a même suivi ici, heureusement pour toi qu’on n’entre pas chez moi comme ça
JAMES: Tonton, je suis venu seul, je ne sais pas de quoi tu parles! J’ai un soucis grave! J’ai mes amis et tous les trois on a l’habitude d’avoir des copines et de se les changer mais depuis qu’on a rencontré une fille là, certaines choses se passent, il y’a d’abord Hervé qui a disparu et ensuite Jacques..
James essaya de tout raconter à son oncle jusqu’au moment où il avait pris la décision de venir lui demander de l’aide
MALEP: Hahahaha.. C’est d’elle que je parle! Je ne sais même pas qui c’est ! Mais c’est une chose très très dangereuse.. Elle a tué ton premier ami et Jacques est vraiment devenu une femme et pour toi elle a décidé que tu seras sa chose dans son monde.. Je ne sais pas quoi mais tu ne vas pas du tout aimer..
James commença à avoir très peur après ces révélations, il pensait a Ludmilla, une si belle fille mais qui en réalité était une chose …
JAMES: Tonton je suis donc la pour que tu m’aides s’il te plait
MALEP: Tu as très bien fait de venir me voir, elle avait déjà attaché ton cercueil sur toi.. Voilà ça a côté de toi, tu te balades partout où tu vas avec… Mais ne t’inquiète pas, je suis le grand Malep et aucun être ou esprit ne me dépasse de vaincre..
JAMES: Merci tonton
MALEP: Moi je vais te donner des choses et des consignes à suivre de très près, si tu rates une seule consigne, je ne pourrai plys rien pour toi
JAMES: D’accord tonton
MALEP: Tiens ça.. C’est une huile.. Je vais te dire quoi en faire!
James prit le flacon et le déposa près de lui
MALEP: Tu as un chien dans ton quartier nooon?
JAMES: Euuh oui ma voisine a un vieux chien là qui n’aboie même plus.. Il est déjà faible..
MALEP: D’accord ce n’est pas grave.. Bon!! Comme je t’ai dit, elle ne va pas s’arrêter tant qu’elle n’a pas terminé ce qu’elle est venue faire.. C’est a dire vous tuer, il ne reste plus que toi.. Donc ces jours ci, elle viendra vers toi.. Ne la repousse pas, sinon elle prendra une autre forme pour t’avoir.. Joue a son jeu et accepte tout ce qu’elle te dit.. Mais a chaque fois que tu iras chez elle pour faire l’amour voici ce que tu devras faire..
James était attentif mais en même temps avait peur de savoir que malgré tout ça, il devait encore avoir a faire a Ludmilla, lui qui espérait ne plus la voir.. Hélas! Malep continua
MALEP: Tu vas prendre un seau d’eau quand tu vas te laver, tu prends le chien de ta voisine, tu laves son visage dans ce seau d’eau, a l’instant quand tu finis, tu laves ton visage avec cette eau puis tu vas prendre ton bain avec le reste, lorsque tu termines tu vas t’enduire de cette huile et ensuite tu vas la rejoindre.. Elle ne pourra pas t’avoir et lorsqu’elle sera fatigué de ne pas pouvoir t’atteindre, elle va disparaître et rentrer d’où elle sort
JAMES: D’accord tonton
MALEP: N’oublie pas de tout faire comme je t’ai dit, sinon .. Ne reviens pas!
JAMES: D’accord
MALEP: Maintenant les consignes, tu ne devras jamais coucher avec une autre fille tant qu’elle ne t’a pas encore laissé tranquille, tu devras au moins coucher avec elle 2 fois par semaine que ce soit chez toi ou chez elle, n’ai pas peur si tu respectes les consignes, tout se passera bien
JAMES: J’ai compris.. Tonton
MALEP: Maintenant tu peux t’en aller!
James se leva et prit le chemin du retour…..
A SUIVRE….
Episode 12
De retour a la maison, James malgré tout avait peur, il préférait même que Ludmilla ne le cherche jamais mais c’était sa mission détruire tous ces gars dont elle ne tarda pas a venir le voir un jour chez lui…
LUDMILLA: Eh James
JAMES: Ludmilla.. Mais comment tu vas ?
LUDMILLA: Je vais bien et toi même?
JAMES: Ah je suis là, ça fait un bail
LUDMILLA: Oui oui!! Depuis que Jacques m’a laissé, tu as aussi décidé de m’abandonner.. Je passais dans ton quartier et j’ai pensé a toi
JAMES: Ah ce n’est pas question de t’abandonner, c’est juste que comme maintenant je suis seul, je ne sors plus trop, je n’ai plus personne avec qui aller me distraire
LUDMILLA: Pourtant tu as mon numéro? Tu connaissais seulement m’écrire quand je sortais avec ton frère.. Depuis que ton frère est alors parti tu ne fais plus signe
JAMES: Nooon.. Ne dis pas ça!
LUDMILLA: Mais c’est le cas.. De toutes les façons, moi je veux bien t’inviter ce week-end si tu veux
James se souvint de ce que lui avait dit Malep, il ne devait pas la repousser mais plutôt céder. Alors malgré la peur qui l’envahissait il accepta l’invitation
JAMES: D’accord.. On prend un verre alors
LUDMILLA: D’accord.. Je vais rentrer alors..
JAMES: OK! Tu passes une bonne journée !
LUDMILLA: Merci et meilleure a toi
Lorsque Ludmilla s’est retournée, le chien du voisin était derrière elle et il se mit à aboyer mais elle n’eût peur, elle le regarda seulement et il s’enfuit la queue entre les jambes.. James regardait la scène et confirma une partie des dires de son tonton..
Le week-end arrivé, James décida d’aller au Rendez vous, prévoyant tout ce qui pouvait arriver, il prit un seau d’eau, appela le chien comme pour lui donner un peu de nourriture, il l’arrêta et se mit à laver son visage d’une manière dans le seau, le chien n’avait affiché aucun signe de refus, comme ci il savait ce que James faisait
Lorsqu’il avait terminé, il est allé prendre son bain, il a mit l’huile sur lui et il a prit la route pour le rendez vous.. Il était 21h lorsqu’il est arrivé, il a trouvé Ludmilla qui déjà était là et l’attendait
JAMES: Bonsoir!
LUDMILLA: Bonsoir James
JAMES: Désolé pour le retard, je terminais une course là
LUDMILLA: D’accord pas grave! Je suis la il y’a juste 5 minutes
JAMES: D’accord
Il a passé sa commande et ils ont commencé à parler de Jacques et Hervé
LUDMILLA: Tu as les nouvelles de Hervé ?
JAMES: Non! Jusqu’ici
LUDMILLA: Hum.. Ton ami là, est ce que tu sais qu’il y’a une chose que je n’ai jamais dit à quelqu’un?
JAMES: Ah bon? Quoi ?
LUDMILLA: Hervé est parti avec une grosse somme d’argent qui m’appartenait, j’ai été déçue de lui pas à cause de l’argent mais à cause de son geste.. Il n’avait qu’à me demander et je lui aurai donné
JAMES: Nooon.. Tu n’es pas sérieuse
LUDMILLA: Bah si! Par exemple Jacques, il m’a expliqué qu’il n’avait pas un très gros salaire où il bossait, j’en ai parlé a mon oncle qui gère une grosse boite et c’est comme cela qu’on le prend où tu vois qu’il déménage là.. C’est moi!
JAMES: Je comprends tout maintenant
James essayait de jouer le jeu mais il avait tellement peur, mais une fois qu’il pensait aux remèdes qu’il avait fait sur lui, son coeur s’apaisait. Mais aussi penser qu’on causait avec un prétendu démon devant soi n’était pas facile
LUDMILLA: Tu sais tes amis peuvent te dire lorsque vous allez vous revoir, je suis ici parce-que je veux, j’ai voulu une relation sérieuse mais avec eux ça été d’autres priorités qui sont passées avant moi, mais je me suis dit que dans le cas de Jacques par exemple, je peux l’aider mais on arrête la relation car je n’ai pas besoin d’un homme qui se trouve loin de moi
JAMES: J’imagine.. C’est vraiment pénible.. Et comment tu vas faire maintenant qu’ils ne sont plus la?
LUDMILLA: Hum.. Mais je vais me chercher un autre me tout simplement.. Est ce que c’était les seuls gars au monde?
JAMES: hahahaha d’accord
LUDMILLA: Par exemple, te voilà toi, après tout ce que tu me disais au téléphone quand ton ami était là, depuis qu’il est parti, tu as aussi arrêter de m’écrire, ou alors vous aimez seulement quand une femme appartient à quelqu’un
JAMES: Non ce n’est pas ça.. C’est juste que je suis très occupé et aussi mes amis me manquent beaucoup
LUDMILLA: Tu sais quoi James, tu es la seule personne que je connaisse ici dans cette ville..
JAMES: Bah pourquoi tu ne fais pas de nouvelles connaissances?
LUDMILLA: Je ne vois pas si je vais me familiariser avec d’autres personnes comme je l’ai fait avec vous, tu sais malgré tout, vous êtes de très bons garçons.. Je suis sorti avec Jacques et Hervé, je n’ai pas regretté ces deux relations parce-que au fond ce sont de bonnes personnes et je parie que tu es pareil
JAMES: Hahaha sûrement..
LUDMILLA: Je te trouve calme contrairement aux autres fois, tes amis te manquent vraiment..
En disant cela, elle avait déjà sous la table, caresser l’entre jambe de James avec son pied
JAMES: Qu’est ce que tu fais?
LUDMILLA: Ce que tu vois?! Je sais que tu as toujours voulu de moi et je te donne l’occasion
JAMES: Humm oui c’est vrai mais tu ne penses pas que c’est une mauvaise idée?
LUDMILLA: Et pourquoi ?
JAMES: On ne sort même pas ensemble, on va baiser sur quelle base?
LUDMILLA: Si on ne sort pas ensemble, faisons le pour le plaisir, depuis que Jacques est parti je n’ai pas fait l’amour James et j’ai tellement envie.. S’il te plait
Les conseils et consignes de Malep résonnaient dans sa tête, il ne devait pas dire non car le seul moyen était de faire l’amour avec elle autant de fois, donc il ne pouvait pas échapper
JAMES: OK!
LUDMILLA: On finit alors, on va chez moi!
JAMES: Chez toi?
LUDMILLA: N’ai pas peur.. Je vis seule
JAMES: D’accord
La soirée terminée, ils ont décidé de rentrer, même trajet comme elle avait l’habitude de faire avec les autres, le chauffeur mystérieux vint les porter pour la maison qui avait subitement réapparu…
LUDMILLA: Bienvenu chez moi
JAMES: C’est joli
James avait peur mais il fallait bien qu’il passe par là..
LUDMILLA: Installe toi! Je reviens!!
Ludmilla est allée dans la chambre, 5 minutes après lorsqu’elle est ressortie elle était nue.. Avec les effets de l’alcool et l’amour pour le sexe, James avait oublié qu’il avait à faire à tout sauf une créature humaine, il s’est levé comme une pièce attirée par un aimant, l’a pris dans ses bras et l’a embrassée langoureusement en baladant ses mains sur ses courbes, elle aussi le caressait en insistant sur la bosse qui commençait à se former, puis elle a commencé a descendre en appliquant des suçons sur son torse, ses tétons, son ventre avant d’enlever sa ceinture et baisser son pantalon..
JAMES: Ahhhh!!
Elle n’avait pas tardé de le mettre en bouche, elle s’appliquait, gorge profonde, avant de lustrer la bite de sa langue , James était aux anges et savourait le plaisir que lui procurait Ludmilla… Puis il la leva et la porta, elle s’agrippa a son cou, ses pieds au niveau des reins de James étaient serrés autour de sa taille, James chercha son intimité avec son machin et quand il la trouva..
LUDMILLA: Ahhhh
Debout, il commença a la baiser, les deux semblaient partager un truc nouveau, pendant près d’une heure, ils ont fait l’amour.. Changement de position à changement de position jusqu’à dormir après jouissance sur le canapé..
Au petit matin, James se réveilla, il regarda à côté de lui, Ludmilla était couchée, mais tout avait l’air normal car elle semblait vraiment fatiguée.. Il la réveilla et quand elle le vit, elle eut peur, elle sursauta comme ci elle venait de voir un bandit ou un inconnu
JAMES: C’est quoi?
En fait Ludmilla était surprise de retrouver James encore dans son état normal pourtant , il savait que cette nuit là, sa mission devait prendre fin.. Elle se mit a bégayer
LUDMILLA: Euh.. Non non!! Rien.. J’ai juste oublié qu’on est rentré ensemble hier!
JAMES: Tu es sûre ?
LUDMILLA: Oui très sûre! Désolé
JAMES: D’accord.. Je te reveillais pour te dire que je vais partir
LUDMILLA: D’accord.. Tu suis juste la route
JAMES: T’inquiète je connais!
James avait compris, il se rappela qu’il avait respecté les consignes de son tonton et que effectivement c’est ce qui avait fait en sorte que Ludmilla ne réussisse pas ce qu’elle avait à faire, de lui…
A SUIVRE…
Episode 13
James est sorti pour prendre la route du retour, sous un ciel ensoleillé et doux en pleine matinée, il traversait un cimetière nouveau pour lui sans crainte mais avec sérénité, il n’avait peur de rien.. Il marchait en étant fier de lui, il savait que le remède avait fonctionné mais surtout parce qu’il avait aussi pris du plaisir
Arriver chez lui ne fut difficile, bizarrement ce jour la circulation des voitures taxis étaient abondante, un deux taxi et il arrivé.. Il prit son téléphone et contacta son tonton tout joyeux
JAMES: Tonton bonjour
MALEP: Oui bonjour fiston, ne me dis rien j’ai vu moi même ce qui s’est passé.. Continue ainsi et elle retournera d’où elle vient
JAMES: Ah merci bien tonton.. Merci
MALEP: Je t’en prie mais n’oublie surtout pas, chaque fois que vous devriez vous voir pour coucher ensemble ça sera une obligation car elle viendra pour ça et tu devras la contrer
JAMES: D’accord tonton
MALEP: Super… Bon je vais devoir te laisser car la maintenant je suis occupé avec d’autres patients
JAMES: OK!!
James raccrocha et s’endormi pour se reposer
Ludmilla de son côté ne savait pas pourquoi cette fois rien n’avait marché comme elle le souhaitait, elle avait pensé a une erreur sûrement mais ça n’arrivait jamais a part si quelqu’un s’y était mêlé.. Jusque là, elle n’avait pas encore l’esprit tranquille et ne comptait pas baisser les bras d’aussi tôt..
Les jours suivant c’est elle qui mettait la pression a James pour qu’ils se voient mais occupé aussi par son boulot, il ne trouvait pas vraiment le temps mais en même temps il devait coucher avec elle deux fois par semaine comme lui avait dit son tonton
#AU_TÉLÉPHONE
JAMES: Mercredi c’est mieux tu passes a la maison
LUDMILLA: Non.. Viens plutôt a la maison s’il te plait
Ne voulant pas trop discuter, il avait accepté de la rejoindre car de toutes les façons, il savait qu’il était protégé de tout.. Alors juste après le boulot ce même jour, il rentra chez lui, appela le chien de sa voisine comme la dernière fois, fit ses gris gris et ensuite James prit la route pour se rendre chez Ludmilla.. Sans difficulté et avec assurance il arriva devant sa maison et entra, elle était assise dans son salon
JAMES: Bonjour
LUDMILLA: Bonjour chéri, tu t’es retrouvé ?!
JAMES: Oui pas trop compliqué..
LUDMILLA: D’accord.. tu m’as manqué
JAMES: Toi aussi.. tu m’as beaucoup manqué
LUDMILLA: Je te sers quelque chose a boire ?
JAMES: Euh non.. Ça va!
LUDMILLA: Tu es sur ?
JAMES: Oui.. T’inquiète
LUDMILLA: D’accord ..
JAMES: Alors ta journée ?!
Ils se mirent a parler de leur journée, se raconter des blagues, rire jusqu’au moment où Ludmilla comme d’habitude prit les devants et commença par s’approcher délicatement de James avant de l’embrasser
LUDMILLA: Dis moi, tu n’as pas de fantasme ?
JAMES: Fantasme? Non pas vraiment.. J’aime juste le sexe..
Malgré sa dite protection, James se méfiait tout de même du fait que chaque question de Ludmilla s’avérait être un piège..
LUDMILLA: Tu sais j’ai beaucoup aimé notre dernière nuit
JAMES: Moi aussi
LUDMILLA: Tu es meilleur que tes deux amis
JAMES: Ah bon? Je suis flatté
LUDMILLA: Hahahahaa c’est la vérité..!
Pendant qu’elle parlait elle le caressait déjà, elle avait l’art de réveiller les sens de ses partenaires, son simple regard était capable de te donner une érection de fer, elle était tellement sensuelle, en fait c’était pour cela qu’elle était là..
James ne résista pas et commença à la déshabiller en lui faisant des petits bisous mouillés sur son cou, en matant ses seins, en un temps record Ludmilla se retrouva nue, elle était toujours sublime, quand tu la voyais c’était toujours comme ci c’était la première fois et que tu voulais découvrir ce corps magnifique..
Ludmilla s’appliquait pour donner un extrême réel plaisir a sa proie, l’endormir pour pouvoir bien usé de lui en toute tranquillité… Ce soir la, ce fut une partie de jambes en l’air torride qui envoya effectivement James dans un sommeil mais Ludmilla fut surprise que rien ne se produisait comme elle voulait
Elle s’est assise devant lui et le regardait pour lire dans son esprit, pour voir si il avait un autre esprit en dehors de ce qu’elle voyait mais elle n’y arrivait pas, tout était flou car Malep avait tout bloqué, c’était ça le rôle de l’huile, aveugler Ludmilla
Quelques heures après lorsque James s’est réveillé, il trouva Ludmilla assise dans son coin avec un air triste et pensif..
JAMES: Tu penses à quoi?
LUDMILLA: Tu es réveillée ?
JAMES: Oui! Tu m’as épuisé
LUDMILLA: D’accord
JAMES: Mais c’est quoi ? Parle moi!
LUDMILLA: Non ça va!! Il n’y a rien.. T’inquiète chérie
Mais sur son visage ça se voyait qu’elle était gênée, qu’elle voulait dire quelque chose mais elle ne pouvait parler…
Le temps passait, Ludmilla essayait toujours de piéger James mais en vain, les consignes de Malep étaient respectées, déjà un mois et Ludmilla ne savait vraiment pas pourquoi elle n’arrivait pas à finir cette mission.. Puis elle eut une idée..
C’était un jeudi après le boulot, James avait eu un imprévu et était rentré très tard, aux environs de 22h par là, en s’approchant de sa maison, il vit une ombre devant sa porte, à première vue il cru a un agresseur mais en regardant mieux c’était une fille, mais qui donc ? Il continua de s’approcher, quand il la reconnu
JAMES: Orny? Qu’est ce que tu fais Là?
ORNY: Bonsoir James..
JAMES: Bonsoir.. Mais pourquoi tes yeux sont rouges?
ORNY: J’ai eu des soucis avec mon petit ami et je n’ai nulle part où partir
JAMES: Et ce n’est que chez moi que tu as vu pour venir?
ORNY: Je t’en prie juste cette nuit, on fera tout ce que tu veux
Orny était une fille du quartier voisin, James l’avait dragué en vain, mais elle avait couché avec Jacques et Hervé.. Au moment où il avait voulu sa part, elle avait su qui étaient ces 3 garçons et a refusé, c’est ainsi que James jura que coûte que vaille il la mettra dans son lit.. Alors ce soir pour lui ce fut une opportunité de se venger
JAMES: OK entrons!
Il a ouvert et ils sont entrés, elle s’est directement déshabillée toute nue, elle s’est glissée sous les draps.. L’envie de sexe fit oublier les consignes à James un instant, il alla prendre son bain et lui aussi tout nu se glissa sous les mêmes draps.
Orny fut réceptive, car c’est elle qui se tourna pour commencer a le toucher, son érection était depuis les toilettes, elle chercha ses lèvres et l’embrassa, il dégusta ses papayes ensuite.. Mais lorsque tout ceci commença à devenir très chaud, il se souvint de ce que lui avait dit son tonton et il arrêta tout
ORNY: C’est quoi? Qu’est ce qui ne va pas?
JAMES: Rien! Orny je suis en couple avec quelqu’un et je n’ai pas envie de la tromper
ORNY: Mais moi aussi je suis en couple, ils ne sauront rien
JAMES: Non! Je ne suis plus du genre.. Je suis désolé.. Je vais t’heberger cette nuit mais c’est gratuit
ORNY: James
JAMES: N’insiste pas s’il te plait
Il s’est levé et est allé mettre un jeans pour dormir, la nuit fut difficile car il était tenté et avait envie.. Ces grosses fesses devant lui le faisaient baver mais il se devait d’être fidèle a Ludmilla.. Pour le moment
Le matin arrive et Orny décida de rentrer, elle avait l’air très fâchée ..
ORNY: J’ai voulu te donner ta chance.. Hélas !
JAMES: Ce n’est pas ça Orny! Peut-être une autre fois
ORNY: Non! Il n’y aura pas une autre fois! Porte toi bien!
Elle sorti et s’en alla..
En fait pour piéger James, Ludmilla s’était servie de Orny mais jusque la, son piège n’avait pas fonctionné, plus d’un mois de combat elle avait donc décidé de laisser tomber et de retourner dans son monde
Le dimanche étant le dernier jour de la semaine, James avait pour obligation de remplir son devoir auprès de Ludmilla, il prit son temps et l’appela pour lui donner Rendez vous en soirée comme d’habitude
JAMES: J’y serai en soirée, je veux te trouver nue
LUDMILLA: D’accord mon lapin.. J’aurai quelque chose à te dire
JAMES: OK!
Ludmilla comptait par là annoncer à James qu’elle voyageait afin de disparaître car pour elle ce dernier avait été beaucoup plus fort qu’elle…
JAMES: J’espère que ce n’est pas pour me dire que tu es enceinte
LUDMILLA: Noooon!! Hahaha
JAMES: D’accord.. À tout à l’heure alors! Bisous
LUDMILLA: Bisous
James décida de se reposer un peu avant d’aller chez Ludmilla, il était donc couché quand il suivit une agitation à l’extérieur, il se leva pour regarder et il vit ses voisins entrain de se lamenter , il se plaça devant sa porte et posa la question au plus jeune
JAMES: Qu’est ce qu’il y’a là-bas?
– Medor, notre chien est mort!
JAMES: Quel chien? Votre chien qui est souvent ici?
– Oui, il était déjà très vieux
JAMES: Comment ça il meurt? Et il est où ?
– Papa est allé l’enterrer mais je ne sais où
James n’avait pas encore fait ses remèdes comme convenu, il n’y avait plus de chien pour laver le visage.. Il marcha dans tout le quartier ce jour à la recherche d’un chien mais on dirait qu’il y en avait jamais eu, il rentra chez lui à 17h…
Sachant qu’il était obligé de coucher avec Ludmilla au moins deux fois par semaine et qu’il lui restait quelques heures, il pris quand même un bain normal et mis le reste d’huile que lui avait donné Malep sur lui, il avait essayé d’appeler son tonton pour lui dire mais celui ci était occupé..
Ne pas honorer le rendez vous et enfreindre la consigne de deux fois par semaine, ou alors partir et courir le risque ? Tel était le dilemme de James et lui il restait 6h de temps
A SUIVRE…
Episode 14
JAMES: C’est bon là!!
La phrase de James lorsqu’il arriva dans le quartier de Ludmilla. Il était 20h lorsque James avait décidé de partir malgré tout, il espérait à un miracle..
Lorsqu’il est descendu du taxi il prit la route pour la maison. À peine il a prit la route qu’il commença à sentir froid, son coeur se mit a battre plus fort.. Il marchait et suivit un bruit derrière lui
JAMES: C’est qui?
On aurait dit quelqu’un qui avait traversé d’un côté à un autre en vitesse..
JAMES: Il y’a quelqu’un?
Personne ne répondait, il continua sa marche et jusqu’à la maison les mêmes bruits qui faisaient peur.. Lorsqu’il arriva devant la maison, il entra comme d’habitude et trouva Ludmilla au salon
LUDMILLA: Tu as mis du temps!
JAMES: Difficile de trouver un taxi.. Désolé
LUDMILLA: Hum..
Elle le regarda bizarrement..
LUDMILLA: Tu m’as l’air différent aujourd’hui, tu es sûr que tout va bien?
JAMES: Oui ça va! J’ai juste eu peur en venant là, des bruits bizarres
LUDMILLA: Peur ?
Ludmilla s’approcha de lui et le regarda droit dans les yeux pendant de longues secondes et sourit..
LUDMILLA: Viens!!
Elle le prit par la main et le conduit dans la chambre où elle ne tarda pas a l’exciter
JAMES: Attends, tu avais quelque chose à me dire
LUDMILLA: Ça peut attendre chéri
JAMES: Non! Dis moi
LUDMILLA: En fait, je devais rentrer pour l’Europe mais à la dernière minute, j’ai eu une dernière information, donc, je crois que je vais rester pour finir ce pourquoi je suis là
JAMES: Et pourquoi tu es là ?
LUDMILLA: Tu poses trop de questions, viens m’embrasser
Elle attrapa ses lèvres avec les siennes et se mit a l’embrasser langoureusement.. Ludmilla avait compris que James était à sa merci et voulait à tout prix se venger cette fois sans attendre..
LUDMILLA: J’aimerai te faire quelque chose de nouveau aujourd’hui
JAMES: Quoi?
LUDMILLA: Tu verras!
Pendant ce temps, le téléphone de James sonnait mais il ne l’entendait pas, c’était son oncle qui avait trouvé les appels de ce dernier et qui aussi avait eu ce sentiment que son neveu était entrain de se perdre, voulant lui signaler sûrement d’une solution dans ce genre de situation,c’était au tour de James d’être occupé
JAMES: D’accord
LUDMILLA: Allonge toi
James s’allongea, Ludmilla est allée éteindre la lumière ensuite quand elle est revenue, elle commença par le lécher avec sa langue, de l’oreille jusqu’au petit orteil.. Pendant ce temps James ressentait un truc de bizarre et de nouveau pour lui.. Ludmilla avec qui il avait l’habitude de coucher à tout moment n’avait pas l’air d’être la même, la sensation de sa langue avait disparu, on aurait dit la langue fourchue d’un serpent, ses caresses étaient délicieuses mais on aurait dit des griffes de chat et son corps n’était pas doux comme il connaissait
JAMES: Attends tu ne penses pas que…
Elle mit la main sur sa bouche et continua de faire ce qu’elle faisait.. Après de longues minutes, elle monta sur lui, s’envoya la bite dure de son copain à l’intérieur de sa chatte et commença a se trémousser comme une actrice porno.. Elle ne s’était jamais déchaînée ainsi, James la trouvait vraiment différente mais aussi il aimait ce qu’elle lui faisait car une fille qui savait prendre les devants, c’était le kiff de James et en le regardant dans les yeux tout à l’heure, elle l’avait lu
Des heures de sexe intense, sauvage et délicieux. Lorsque James avait joui, il s’est regardé, touché, toucher même Ludmilla et tout était normal, il se dit que sa chance avait fonctionné pourtant l’heure n’était pas encore arrivé… Il a prit Ludmilla dans ses bras et ils se sont endormi l’un dans les bras de l’autre..
Toujours la même heure, minuit, dans le lit, James se retourne dans son sommeil et subitement il se sent tout léger, un vent qui passe entre son entre jambe, il envoie la main pour regarder et savoir pourquoi cette sensation et là
JAMES: Mon pénis!!
S’ écria t- il
JAMES: Mon pénis a disparu!!
Il se leva rapidement et alla allumer… De ses yeux il regarda son entre jambe et réellement James n’avait plus de zizi
JAMES: Ludmilla!! Ludmilla!!
Elle dormait et était de dos à lui..
JAMES: Ludmilla!! Remets moi mon zizi
Il alla vers elle et se mit a la secouer jusqu’au moment où elle se retourna..
JAMES: Quoi? Ingrid
Ludmilla était devenue Ingrid une des ex de James, en quelques secondes, elle changea
JAMES: Danone?
Ainsi de suite, elle Présenta plusieurs visages à James qui avait reconnu ses nombreuses ex à qui il avait brisé le coeur
JAMES: Mais.. Mais qui es tu ? Tu es quoi au juste?
LUDMILLA: Tu as reconnu ces filles ?
JAMES: …
LUDMILLA: Je suis le fruit des pleures que tu leurs a causé ainsi que tes deux autres amis.. Tu as failli me faire abandonner ma mission mais il a fallu que j’insiste et je vous ai tous eu
JAMES: Donc c’est vraiment toi qui a fait disparaître mes amis
LUDMILLA: Oui et chacun de sa manière, mais ne t’inquiète pas, tu iras bientôt les rejoindre et là-bas vous ne pourrez plus briser le coeur d’une fille
JAMES: Ludmilla, je t’en prie pardonne nous, donne nous une seconde chance et je te promets qu’on va changer
LUDMILLA: Trop tard! Fallait y penser
JAMES: Je t’en supplie.. on ne savait pas ce que l’on faisait… Remets moi mon zizi et je te promets que je vais changer
LUDMILLA: Hahaha.. Si tu te voyais à l’instant! C’est pareil quand une fille vous supplie après que vous lui ayez fait du mal mais est ce que tu prends ses supplications en comptes? Jamais! C’est la même chose que je ferai avec toi, tu vivras désormais sans zizi, peut-être là tu resteras calme
JAMES: Non ! Non ! Pas ça s’il te plaît
Ludmilla lui donna une gifle et lorsqu’il se réveilla , il était dehors, la maison avait disparu, son zizi n’était toujours pas là, il vit le chemin qui mène en route et décida de le suivre…
James marchait, lui qui avait l’habitude de passer la avec assurance avait plus que peur, après quelques mètres, il vit devant lui des fantômes. cinq personnes avec des habits blanc qui avaient barré le chemin, ces personnes ne bougeaient pas, ne parlaient pas mais le regardaient
Il était arrêté.. Derrière lui tout était obscure et ça ne donnait même pas l’envie d’y retourner, il décida tout de même d’avancer.. Arriver au niveau des cinq personnes, elles s’écartèrent pour lui donner le chemin, il les traversa avec le coeur qui battait mille à l’heure, les membres qui tremblaient, la sueur qui coulait
A peine il les traversa, lorsqu’il se retourna, elles n’étaient plus là, il se mit à courir jusqu’en route, il courait sur toute la route vers le chemin qui mène chez lui, quand il entendit une voiture venir, il se mit en route et commença a la stopper
JAMES: Eh!! Eh!! Aidez moi! Aidez moi!
La voiture s’arrêta, un taxi, à l’intérieur
– Vous allez où ?.
Le taximan suspect de la zone…
– Entrez!!
JAMES: Merci
James entra dans la voiture en pleurant…
– C’est quoi? Il y’a un soucis monsieur!
JAMES: Je viens de perdre mon pénis
– Pardon?! Le perdre? Mais comment ?
JAMES: Je n’ai plus de pénis… Je ne sais pas avec qui j’ai couché mais elle m’a pris mon pénis
– Hahaha
JAMES: Ça vous fait rire?! Regardez!
Il baissa son pantalon..
– Je n’ai jamais dit que je ne vous crois pas! C’est juste que c’est drôle et vous êtes assez naïfs vous jeune.. Le sexe vous donne quoi ? Maintenant tu as perdu toute ta vie et elle a fini de tous vous avoir un a un
JAMES: Pardon? Vous connaissez mes amis
– Hahaha.. Si je connais tes amis?! Tu iras leur demander toi même quand on va arriver
JAMES: Quoi?
James regarda la route et la voiture avait l’air de rouler en arrière.. Il compris que le chauffeur était du camp adverse , il essaya d’ouvrir la portière mais celle ci était fermée et bloquée…
A SUIVRE….
Episode 15
Malgré ses plaintes, ses pleures, ses lamentations et tout le reste pour essayer de s’évader de ce gouffre, James n’avait pas réussi et comme les autres, il était appelé à disparaître, à rejoindre un monde différent
JAMES: Laissez moi descendre je vous en prie!! Laissez moi partir!
– Où veux tu aller ? Je t’amène où tu dois normalement être
JAMES: Non je vous en prie monsieur!! Je vous en supplie
A un moment donné, on aurait dit qu’ils s’envolaient, la voiture ne touchait plus le sol et plus ils avançaient plus la vitesse s’accroissait, à un moment on aurait dit qu’ils étaient à une vitesse lumière car tout était presque invisible à l’extérieur
Après un moment ils sont arrivés quelque part où Le chauffeur a garé, les portières se sont ouvertes et tous sont descendus.. C’était atroce ce que James voyait..
En fait, ils étaient quelque part , un lieu grand , comme une vaste cours on aurait dit, et dans cette cours assez grande, se trouvaient des hommes et des femmes, tous nus qui entretenaient des rapports sexuels avec des êtres qui n’étaient pas des humains
– Bienvenu à Mpouloulou
JAMES: Mpou..Mpouloulou ? C’est quoi Mpouloulou ?
– Mpouloulou c’est ce que tu vois!! Un monde réservé à ces briseurs de coeur, à ces briseuses de coeur aussi, aux gens qui font du mal pour du sexe, des violeurs, des attardés sexuels
JAMES: …
– En fait, je suis le chauffeur de Mpouloulou et lorsque que quelqu’un est désigné dans votre univers pour rejoindre Mpouloulou, on me délègue pour aller le chercher, alors pour cela je travaille avec celui ou celle qui est en mission.. C’était moi le chauffeur de Ludmilla lorsque vous étiez parfois dans la grosse voiture tes amis et toi
JAMES: Et que faisons nous à Mpouloulou ?
– À Mpouloulou, on se fait faire ce qu’on aime ou alors on fait ce qu’on aime pour toute la vie, ça dépend de ce que l’esprit qui t’a conduit ici demande qu’on te fasse.. Tiens regarde là-bas
James leva la tête vers où lui montrait le chauffeur et..
JAMES: Mais… Mais c’est Hervé
– Oui c’est Hervé, et ici il est condamné à faire l’amour toute sa vie, il est là depuis des mois, son érection est toujours en place, il joui il recommence, hahahaha c’est drôle
James regardait le chauffeur, quelque chose de si atroce mais il trouvait ça drôle, Hervé avait séché, ça se voyait qu’il ne faisait que ça
– Tu vas reconnaitre beaucoup de personnes qui sont comme toi, avançons!!
Ils se sont mis a marcher et le chauffeur lui montrait les différentes punitions
– Regarde celui la.. Un pédophile homosexuel, il est puni a être sodomiser durant toute sa vie ici, hahaha regarde cette fille, elle a abusé d’une petite fille, ce démon la lechera jusqu’à ce que son heure va arriver
JAMES: Mais Jacques ?! Pourquoi l’avoir transformé en fille ?
– En parlant de lui, le voilà
Jacques étaient entrain de se faire partouzer par des mecs bien membrés, on ne sait pas si c’était sale ou juste horrible a Voir
– En fait de vous tous, Jacques était celui la qui chosifiait beaucoup plus les femmes, même sexuellement pour lui, la femme était un objet avec lequel on s’en servait et ensuite après usage on s’en débarrassait.. Hahaha.. Sa punition a été qu’il devienne une femme pour voir ce que ça fait
JAMES: Mais pourquoi moi.. Pourquoi moi on m’a fait disparaître mon sexe ?
– Ça je ne saurai te dire, mais sûrement c’est dû au fait que tu as su que c’est Ludmilla qui était a la base de tout cela et au delà de ta punition, hahahaa elle t’a enlevé ton sexe
James avait peur, ce qu’il voyait a Mpouloulou ne donnait pas l’envie de rester mais ils étaient déjà prisonnier donc rien a faire..
– Tiens nous sommes arrivés..
Ils étaient devant un miroir, un très grand miroir qui reflétait une image qui n’était pas celle qui était réellement en face du miroir
– Avance toi et tu verras ton destin ici dans ce miroir..
James s’est avancé et une tête est sortie du miroir, James s’effraya..
– hahahaha.. Normalement tu ne devrais plus avoir peur car ce que tu vivras sera au dessus de tes peurs, ai plutôt pitié de ce que tu deviendras
JAMES: Je vous en prie, libérez nous mes amis et moi, on a compris la leçon, on va changer
– Vous aurez du y penser bien avant, maintenant que voulez vous ? Il est trop tard
JAMES: Si vous nous avez amené ici, vous pouvez nous ramenez, et je vous promets on fera ce que vous voulez
James pleurait en suppliant mais la tête dans le miroir semblait être sans pitié..
– Maintenant regarde ce que tu deviendras.. Hahahaah
L’image de James dans le miroir s’afficha, c’était lui en pleine envie de sexe mais qui n’arrivait pas à se satisfaire, même par la masturbation.. n’ayant pas de sexe, il était obligé de vivre avec ces envies la jusqu’à la fin des temps et plus il y passait du temps plus l’envie s’accuentait… C’était pénible
JAMES: Je vous en prie monsieur la tête, on va changer, on ne fera plus jamais du mal aux pauvres filles
– Fallait.. Y penser!!
Et la tête disparu.. James s’écroula et se mit à pleurer, on vint le chercher pour aller lui donner la place, on le tenait par les épaules, démoralisé, abattu, faible, en larmes, il était
Lorsqu’il arriva, on le fit asseoir quelque part là, enchainé, il senti une envie sexuelle monté dans son corps mais incapable était il de satisfaire cela..
Plus d’un mois dans cet enfer, plus d’un mois avec cet envie, James voulait parfois se transpercer le corps, tellement c’était insupportable…
LUDMILLA: Comment tu te sens?
JAMES: Ludmilla, Ludmilla
LUDMILLA: Tu vois ce que ces pauvres femmes endurent souvent lorsque vous les traitez comme des vulgaires jouets?
JAMES: On va changer, je te promets! Ramène nous!
LUDMILLA: Tout être humain mérite de la considération et du respect, vous avez méprisé, humilié de nombreuses femmes, aujourd’hui c’est a votre tour
JAMES: Non!! On demande pardon, même si on doit le demander à ces filles là, on demande pardon Ludmilla
LUDMILLA: Hahahahaha
Ludmilla tourna son dos pour partir, James se mit a pleurer comme un petit enfant puis elle lui demanda
LUDMILLA: Tout à l’heure tu m’as demandé qui j’étais.. Hahaha
JAMES: Je t’en prie!!
LUDMILLA: Je suis celle là qui reviendra vous chercher si un jour, une fille pleure encore à cause de vous!
James ouvrir les yeux, comme ci il n’avait pas bien entendu, était ce une façon de lui dire qu’elle leurs pardonnait..
LUDMILLA: Et là, tu sauras qui je suis réellement..
Elle souffla sur son visage et net à l’instant il se retrouva assis avec ses deux autres amis, Ludmilla les avait tous renvoyé dans leur monde, le même soir où ils l’avaient rencontré..
Nos trois amis se regardaient car tous pensaient a la même chose.. James a touché son entre jambes et son pénis était là, en même temps Jacques touchait son corps mais ses seins avaient disparu, il toucha son entre jambes et il avait retrouvé son sexe, Hervé toucha son corps, tout était normal..
JACQUES: James?
JAMES: Hervé ?
HERVÉ :Jacques? C’est vous les gars?!
JAMES: On rêvait ou bien?!
JACQUES: Le même rêve ?
Eux qui voulaient vraiment savoir si c’était le même rêve entendirent juste derrière eux
LUDMILLA: Bonsoir
Les trois reconnurent Ludmilla au même moment après s’être regardé, ils se sont levés et se sont enfuis.. Ludmilla les regardait partir en souriant
Elle avait fait revenir le temps jusqu’au jour où elle avait fait leur connaissance, une seconde chance tout le monde en mérite, et c’est ce que nos amis avaient reçu
Personne n’avait bizarrement remarqué leur absence, tout était très normal… C’est des jours après qu’ils s’étaient revus pour se raconter et parler de ce qui leur était vraiment arrivé, drôle mais flippant… ce qui fut bien après c’est que tous les trois après tout avaient appris la leçon..
HERVÉ: Gars ça fait rire hein,mais vrai vrai moi j’ai déjà une seule go maintenant et je ne la dérange même plus.. Les choses d’avoir plusieurs copines là hein..
JAMES: Mon frère, le way la ce n’était pas un rêve,c’était la réalité, moi mieux je reste célibataire en attendant
JACQUES: Gars moi je suis avec Paula maintenant, je ne veux même plus que quelqu’un lui écrive.. On va me confondre là je me retrouve encore a Mpouloulou
C’est ainsi que nos trois amis avaient finalement changé, tous s’étaient casés et responsabilisés, ils avaient fait naitre un respect envers la femme.. Eux qui avaient une réputation de coureurs de jupons dans le quartier étaient devenus des exemples avec le temps.. Une expérience qui les avait changé.. Ludmilla? Personne n’avait vraiment su qui elle était….
FIN